Séjournant en Angleterre en 1825, Delacroix y rencontre le maquignon Adam Elmore qui lui offre l’hospitalité. Il profite de cette occasion pour dessiner des chevaux et découvrir les œuvres laissées par Géricault dans cette demeure où il avait été accueilli quelques années auparavant. Cette feuille s’inspire de l’une d’entre elles, représentant une cavalière au galop. L’interprétation qu’en donne Delacroix témoigne de son admiration pour le peintre du Radeau de la Méduse, mais aussi de ses talents d’aquarelliste, qu’il perfectionne au contact de l’art anglais.
As he was travelling in England in 1825, Delacroix met the horse dealer Adam Elmore, who offered him a place to stay. He put this opportunity to good use, drawing horses and studying the works Géricault had left in this very house, where he had previously resided. This sheet quotes one of them, a drawing of a woman horseback riding in a country setting. Delacroix's interpretation betrays his admiration for the painter of the Raft of the Medusa, and also reveals his talented handling of watercolor, a technique which he perfected through contact with English art.