Si les collections des Beaux-Arts de Paris possèdent un portrait posthume de Rodolphe Bresdin dans son atelier, elles n’avaient jusqu’ici aucune des planches gravées ou lithographiées de l’artiste maudit, mort dans la misère, au surnom si éloquent de « Chien-caillou ».

Frontispice pour fables et contes de Thierry-Faletans, 1868 Lithography applied on China paper, extremely rare proof of the 1st state, 25,2 x 20,5 cm; sheet 48,6 x 32,1 cm © Beaux-Arts de Paris, Est 14461