Ce que le langage fait à l’art.
Le langage agit dans le travail de David Douard comme un matériau en tant que tel. Par ce biais, il redéfinit un nouvel espace social, hybride, en pleine mutation. En y injectant les poèmes d’anonymes toujours empreints d’une forme de chaos, déviance, maladie ou frustration, il recrée un environnement contaminé en parallèle du monde réel, augmenté par le fantasme des nouvelles technologies numériques.