Peinture modèle vivant - Fabienne Oudard

AMATRICES / AMATEURS

Peinture modèle vivant - Antoine Benard

AMATRICES / AMATEURS

Peinture modèle vivant - Gilles Marrey

AMATRICES / AMATEURS

Peinture modèle vivant - Cécile Cassagnac

AMATRICES / AMATEURS

Chloé

Vanderstraeten

Diplômée des Beaux-Arts de Paris en 2021 et des Arts Décoratifs en Image Imprimée, Chloé Vanderstraeten cherche à créer des espaces-temps poétiques par le dessin, en dialogue avec des sources iconographiques issues du croquis d’architecture, de la notation chorégraphique, et d’une préhistoire du geste manuscrit.

Sa pratique pose la question de l’usage du corps : que se passe-t-il lorsque l’on utilise son organisme pour dormir, pour respirer, pour marcher ? Elle a participé à plusieurs expositions collectives, notamment au CAC Brétigny et à Mains d’Oeuvres à Saint-Ouen avec le collectif de commissaires Champs Magnétiques, et à Souffler de son souffle à la Fondation Vincent Van Gogh à Arles en 2022.

 

Mélissa

Boucher Morales

Mélissa Boucher Morales, Franco-Bolivienne née en 1986.

Mélissa a étudié dans l'atelier de Patrick Tosani aux Beaux-Arts de Paris, dont elle sort diplômée en 2013. Elle fait partie de l'atelier collectif Le Houloc à Aubervilliers, collabore avec différentes structures en tant qu’artiste intervenante et elle est représentée par la galerie Jocelyn Wolff depuis juin 2024

Elle a exposé dans des festivals photographiques tels que Circulation(s), les Boutographies et ManifestO, dans des Group shows de galeries d’art telles que Triple V, Chez Valentin, Les Bains Douches à Alençon et dans des centres d’Art comme le musée MMA de Moscou, la Maison des Arts à Malakoff et le Credac.

Mélissa expérimente les possibilités et les limites de l’image. Ce qu’elle aime dans la photographie c’est son ambiguïté, les possibilités d’évocation et de projection multiples qu’elle déploie. Ses images sont une façon d’interroger le transitoire. Elles explorent souvent des formes et de notions liées à la représentation de l’intime, avec une attention récurrente pour la gestuelle. Elle s'intéresse aux à coté, angles tournants, à la présence d’objets ou de formes en apparence secondaires mais ouvrant un espace de jeu entre le documentaire et la fiction. Ses images existent finalement souvent dans le dialogue, mais aussi dans la confrontation voire dans la confusion avec d'autres genres et médiums comme le cinéma ou la littérature.

« Les compositions que l’artiste effectue lors de ses expositions révèlent que l’espace est une de ses zones d’expérimentation. Ses photographies, par la diversité de leurs formats, s’offrent alors comme des bribes d’une partition à recomposer. On remarque d’ailleurs que les intervalles qui séparent les œuvres sont tout aussi importants que ceux où elles se superposent. Ils suggèrent une approche para-cinématographique où le spectateur active ses propres séquences en collectant et agençant les scènes au gré de la circulation de son corps et de son regard. »(…) Extrait d’un texte de Thomas Fort

Lenny

Rébéré

Diplômé de Gravure à L’ESAIG Estienne en 2013 puis des Beaux-Arts de Paris en 2018, Lenny Rébéré propose un enseignement de dessin basé sur la pluralité technique.

Lenny Rébéré est membre de l’atelier Le Houloc à Aubervilliers et est représenté depuis 2015 par la Galerie Isabelle Gounod à Paris avec laquelle il a réalisé plusieurs expositions personnelles ou collectives, en France et à l’ étranger. Lauréat du Prix Paris I Panthéon-Sorbonne pour l’art contemporain (2017) et du Prix du Dessin Contemporain des Beaux-Arts de Paris (2018), il a récemment été nommé au Prix Drawing Now 2022.

Les œuvres de Lenny Rébéré constituent des ouvertures sur un monde contemporain translucide et volatile. Alliant la vidéo, l’installation et le dessin, il expérimente divers supports comme le verre ou la lanière PVC : il sonde les images et les espaces environnants pour relire et replacer l’instantané qui porte suffisamment d’ambiguïté visuelle. Les œuvres se déclinent comme des scènes d’une vie quotidienne et rituelle où la notion du temps est relative, tantôt absente tantôt accélérée.

 

 

Valentin

Duhamel

Valentin Duhamel s’intéresse aux fonctions sociales, économiques et historiques de l’imprimé et développe une recherche plastique autour des différents processus d’impression. Il bricole et met en scène des outils d’impression rudimentaires, peu fiables, fragiles, lents et aléatoires pour prendre à revers la productivité industrielle : une ode à l’inefficacité.

Diplômé des Beaux-Arts de Paris en décembre 2019, il a été moniteur de l’atelier de gravure d’Aurélie Pagès pendant trois ans.

Aujourd’hui, imprimeur des éditions du Musée des Estampes de la ville de Gravelines, il y dispense des cours d’impression (taille-douce) et accompagne les artistes en résidence au musée.

Il est également imprimeur Free-lance, avec un goût particulier pour les éditions qui sortent des sentiers battus.

 

Madeleine

Calafell

Diplômée des Beaux-Arts de Paris en 2020, monitrice de l'atelier céramique Claude Dumas depuis Octobre 2017 et lauréate du prix sculpture Joseph Epstein en 2021, Madeleine Calafell enseigne dans le cadre de la Nouvelle Académie des Amateurs. 

Le monde de Madeleine Calafell provient des allégories qu’elle a pu rencontrer dans les paysages et l’imaginaire social africain où la nature est souvent déifiée. A partir de son vécu en Afrique (Côte d'Ivoire et Maroc), l'artiste crée des dessins et sculptures en s'inspirant de souvenirs esquissés, d'Alpha Blondy, Die Antwoord, Kader Attia, William Kentridge, Roger Ballen, de la fantaisie aussi triste que joyeuse des fanfares, des codes post-esclavage, de la décolonisation, du mouvement ZEF et de l’apartheid.

En passant par la réflexion et l'imagination, Madeleine Calafell invite à apprendre les bases nécessaires  théoriques et les différents procédés techniques pour réaliser une pièce céramique. 

 

Crédit photo : Zoé Moineaud

 

Cynthia

Walsh

Diplômée de l’École d’Architecture Paris-Est (EAVT) en 2011, et de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles (ENSA-V) en 2016, Cynthia Walsh enseigne au sein de la Nouvelle Académie des Amateurs des Beaux-Arts de Paris.

Cynthia Walsh s'intéresse aux banlieues parisiennes en voies de mutations et représente des paysages qui révèlent une histoire bientôt enfouie à l’aube d’un nouveau récit. Ces "Fragilités urbaines" évoquent une société en profonde transition et en recherche de nouveaux paradigmes. Elle expose régulièrement ses dessins dans des expositions collectives et personnelles.

Elle place l'observation du réel au cœur de son enseignement, et privilégie l'immersion dans les lieux dessinés. Parallèlement, elle enseigne le dessin en tant que vacataire dans différentes écoles parisiennes dont l’École Nationale Supérieure du Paysage de Versailles (ENSP), l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris La Villette (ENSPLV) ou encore l’École Nationale des Ponts et Chaussées (ENSP).

 

 

Debug Vue : ID: