Manon

Delarue

Née en 1991, Manon Delarue vit et travaille à Paris. Artiste plasticienne diplômée des Beaux-Arts de Paris et pensionnaire de la Casa de Velázquez, elle explore les médiums du dessin, de la bande dessinée et de l’installation, mettant en lumière l’impact de la culture et des mythes sur l'érotisme.

Après des résidences artistiques en Islande et au Japon, Manon présente son travail dans les galeries Valérie Delaunay et Bertrand Grimont. Coach sportive diplômée, elle fonde en parallèle "les joggings culturels", associant sport et culture, et conçoit des actions pour de nombreuses institutions telles que Paris Musées en vue des Jeux Olympiques 2024, le Musée National du Sport et le Lafayette Anticipations.

 

Vicky

Fischer 

Née en 1981 à Paris, vit et travaille à Paris et en région parisienne.

Vicky Fischer est artiste multidisciplinaire, diplômée du DNAP à l’ESA de Rueil-Malmaison en 2005, du DNSEP de l'ENSA de Bourges en 2007, d’un Certificat d’Aptitude Culinaire en 2010 et d’un Certificat d’une année de recherche interdisciplinaire « Art et Cuisine » en Post-Diplôme de l'ESAD de Reims en 2012. 

Elle enseigne depuis 2012 dans diverses écoles d’enseignements artistiques en année préparatoire et donne des cours de dessin, de peinture et d’impression aux ateliers Beaux-Arts de la Ville de Paris depuis 2013, où elle enseigne également aux Classes Préparatoires de Glacière. 

Elle a également participé à des résidences d'artistes en milieu scolaire en 2014 et à la médiathèque La Fontaine à Paris en 2018. 

Son travail a été montré dans plusieurs expositions collectives en France et en Allemagne. Elle puise ses références dans l’imaginaire populaire et dans l’iconographie du quotidien, afin de se confronter aux notions du bon-goût, du kitsch et du savoir-faire. Dans son travail, elle se sert de plusieurs médiums, allant de la peinture à l’installation, et utilise des principes d’association et ruptures propre à sa démarche conceptuelle.
 

France

HERVÉ

Née en 1967 à Bourges, attachée à la Bretagne. Elle vit et travaille à Paris et en Nouvelle-Zélande (Résidente permanente depuis 1996).

Interprète (danse, théâtre, voix), chorégraphe et metteur et scène, elle est auteure de plusieurs pièces primées aux NZ awards, accordant le texte à la perception/intégration du mouvement (corps, mobilier scénique, lumières, paysages sonores et virtuels). Sans a-priori de genres, son expérience intègre également théâtre musical, opéra, théâtre de rue, radio, cinéma, télévision et concerts. 

Stimulée par la recherche, réalisatrice et plasticienne, France collabore régulièrement à des projets performatifs -in situ avec des artistes peintres, architectes, poètes, musiciens, galeries d’art et musées. Elle s’intéresse résolument aux instants où les disciplines et techniques s’associent, se répondent et par le jeu, réinventent leur contour.

France a dirigé plusieurs stages sur le ‘Corps Performatif’, depuis la création de la Via Ferrata en 2016. Elle enseigne actuellement à l’école Supérieure de Théâtre d’Asnières ESCA.

 

Germain

Languille

Né en 1979 à Paris, vit et travaille en région parisienne.

En 2006, après un DNSEP à l'École des Beaux-Arts de Nantes et un Master 2 Pro en Gestion, commercialisation et diffusion produits culturels, Germain Languille démarre son activité de graphiste en freelance au côté de Gilles Guinamard qu'il assiste à l'occasion de l'ouverture de la Pinacothèque de Paris. Il travaille ensuite pour le milieu du spectacle et de la culture : l'AFCCA, Centre culturel de Courbevoie, Xavier Veilhan, REDITEC.

En 2015, il arrête son activité de freelance pour se lancer dans l'enseignement de l'art appliqué au CFA Médéric. Il enseigne à Via Ferrata depuis 2018.

 

Laurent

Lacotte

Né en 1981 à Bergerac, vit et travaille à Paris et ailleurs.

Laurent Lacotte est un artiste qui privilégie le travail in situ et conçoit généralement ses œuvres en fonction des endroits dans lesquels il se trouve. Depuis le début de son travail d’artiste, il utilise à dessein des matériaux fragiles et précaires pour réaliser des installations le plus souvent éphémères. Il intervient fréquemment dans la rue, ou dans les zones sensibles de circulations humaines et/ou de partage de territoires.

Plus généralement son art qui se confronte au réel met en exergue les tensions, les contradictions et les travers de notre société contemporaine. Il crée avec humour et poésie des installations et des environnements singuliers. Il tisse ainsi des passerelles entre l’art et le quotidien, en explorant les notions liées à l’espace public et institutionnel, à l’intime et à l’universel. La notion du collectif prend une place certaine dans sa réflexion et dans sa manière d’envisager la création.
Son travail est exposé régulièrement au sein de galeries, centres d’art et musées et ses œuvres sont présentes dans plusieurs collections publiques et privées.
Il anime depuis plusieurs années et à fréquence régulière de nombreux workshops en écoles d’art et au-delà.

 

Michaël

Jourdet

Né en 1980 au Blanc-Mesnil, vit et travaille à Meaux

Après une licence en arts plastiques à la Sorbonne, Michaël Jourdet intègre l’Ecole Supérieure d’Arts de Rueil-Malmaison. Après l’obtention d’un  DNAP en 2003, il intègre les beaux-arts de Paris, puis reçoit les Félicitations du jury lors de son DNSAP en 2007. Depuis 2008, il expose régulièrement à Paris et en France : le 104, la Gaîté Lyrique, la Galerie le Plateau, les Abattoirs de Toulouse… et participe, en parallèle, à différentes structures ou associations artistiques telles que l’association Jeune Création ou le Collectif Ring. Il enseigne le dessin et la peinture depuis 2011.

L’enseignement de l’artiste Claude Rutault et les écrits de Kasimir Malevitch, en début de son parcours, dirigent son travail plastique et ses questionnements vers la peinture monochrome, conceptuelle, son exposition et son interprétation par un public. Les notions de cadre, de surface et d’écran restent les bases de ses propositions plastiques.

 

Julie

Genelin

Née en 1977 à Nantes, vit et travaille à Argenteuil.

Franco-autrichienne, Julie Genelin questionne le rapport au temps de nos sociétés à travers ses installations, ses performances et ses éditions d’objets. Cette quête se reflète dans son travail depuis l’obtention de son diplôme des Beaux-Arts de Paris en 2006. Par-delà son parcours individuel, elle fédère autour d’elle une dynamique qui l’a amenée à créer, en partenariat avec d’autres artistes, deux associations : Celeste, fondée en 2005 à Pékin, qui organise des expositions et des résidences jusqu’en 2012, et le Cercle Chromatique, qui réunit des alumni des beaux-arts de Paris depuis 2017.

Titulaire d’un DEA en études germaniques, Julie Genelin est aussi traversée par la question du langage. Cette réflexion prend chez elle une forme plastique. Sa pratique artistique et plus particulièrement les deux directions, le temps et le langage, qui la structurent, s’exprime également à travers sa volonté de transmettre qu’elle vit en enseignant à Via Ferrata, Beaux-Arts de Paris, depuis 2016.

 

Béatrice

Duport

Née en 1960 à Saint Quentin, vit et travaille à Montreuil.

Béatrice Duport a étudié à l’École nationale supérieure d’arts de Paris Cergy, à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs et à l’Universität der Künste Berlin.

Elle enseigne régulièrement dans les écoles supérieures d'art mais aussi au CAMM de Bamako, Mali. 

Partant du champ élargi de la sculpture et attachée à la saisie du réel, Béatrice Duport pratique divers médiums qu’elle agence dans des installations spécifiques. Elle aborde l'espace dans ses dimensions -architecturales, géo-historiques, culturelles et sociales. Ses pièces travaillent un lien entre des spectateurs, sujets d’une expérience dans le lieu clos d’une exposition et des réalités extérieures, proches ou lointaines, passées ou présentes. Elles impliquent la perception du spectateur et sollicite sa réception active, en cherchant à construire ce que Jean Rouch nommait une “anthropologie partagée”.

 

Olivier

Di Pizio

Né à Neuilly en 1957, vit travaille en région parisienne.

Diplômé avec mention des Beaux-Arts de Paris, il est enseignant et président du salon Réalités Nouvelles. Il construit sa recherche autour des questions de l’abstraction, nourrie par les problématiques du déterminisme et de la spéciation qui sont au centre de son travail. Il collabore à des projets rapprochant art et science. Il est enseignant et responsable pédagogique à la classe préparatoire des ABA (Ateliers Beaux-arts de la ville de Paris)

Continuer de peindre aujourd’hui suppose un projet fort sous-tendu par une exigence conceptuelle et une technique propre. Les plaintes hypocrites sur la mort de la peinture sont démenties régulièrement par des œuvres qui affirment leur singularité au sein d’une tradition renouvelée. Oliver Di Pizio produit dessins, peintures et installations qui mettent en crise la question de l’abstraction, ce qui complète son action en tant que président du Salon Réalités Nouvelles.
 

Luc

Chopplet

Né en 1981 à Paris, vit et travaille dans la forêt de Fontainebleau.

Responsable pédagogique de Via Ferrata.

Diplômé de l’école d’art de Rueil-Malmaison (2003), des Beaux-Arts de Paris (2005) et de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs (2008), il enseigne le dessin et la peinture depuis 2009. Son travail artistique a été montré dans des espaces d’exposition et des institutions culturelles en France, Italie, Allemagne et aux Pays-Bas. Il créé en 2016 la classe préparatoire Via Ferrata aux Beaux-Arts de Paris, en constitue l’équipe pédagogique et l’organisation.

 

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