10h-13h sur inscription (jauge limitée)
Visite ateliers Art Explora sur place site Montmartre.
Jeudi 16 mai 2024
14H00 - 16H00
Palais des Beaux-Arts
13 quai Malaquais, 75006 Paris
10h-13h sur inscription (jauge limitée)
Visite ateliers Art Explora sur place site Montmartre.
Mercredi 15 mai 2024
10H00 - 16H00
Palais des Beaux-Arts
13 quai Malaquais, 75006 Paris
10h-12h Seumboy Vrainom est un militant Hors-Sol. Héritier de l’histoire coloniale française, il a grandi au Luth, une cité de région parisienne, au 13ème étage d’une tour, flottant dans le virtuel. Face à une difficulté à se réapproprier la terre, il s’est naturellement
plongé dans l’espace numérique. Il anime la chaîne de vulgarisation Histoires Crépues.
Jeudi 2 mai 2024
14H00 - 16H00
Palais des Beaux-Arts
13 quai Malaquais, 75006 Paris
Rencontre croisée entre Annette Joseph Gabriel, Sarah Quesada et cinq étudiant.es de Duke University.
Annette Joseph-Gabriel est une auteure et chercheuse dans les domaines de la littérature, la culture et la politique. Elle est professeure de français et des études francophones à Duke University, où elle poursuit ses recherches et enseigne des cours sur la littérature antillaise et africaine. Son livre, Imaginer la libération : Des femmes noires face à l’empire, a été publié en 2023 chez Éditions Rot-Bo-Krik.
Jeudi 25 avril 2024
18H30 - 19H30
Palais des Beaux-Arts
13 quai Malaquais, 75006 Paris
Paul Gonzalez-Hyper
L'utilité de mon travail
8 minutes
Dans cette performance, Paul Gonzalez-Hyper incarne un archétype de masculinité détestable et tourne en ridicule cette position surplombante : à travers un personnage de commissaire-priseur rencontré dans son quotidien, l’artiste moque une approche viriliste du savoir, mettant en scène un discours autoritaire sur la valeur des œuvres.
Du mercredi 24 avril 2024 au dimanche 30 juin 2024
Du mercredi au dimanche, 13h-19h (Nocturne le jeudi jusqu’à 21h)
Palais des Beaux-Arts
13 quai Malaquais, 75006 Paris
Les étudiantes, étudiants et commissaires de la filière « Artistes & Métiers de l’exposition » proposent autohistorias, une exposition collective inspirée de Gloria Anzaldúa, théoricienne, activiste et poète féministe chicana. Dans un texte inédit, elle propose l’écriture comme une manière de se définir par la théorie, la fiction, les mythologies, les jeux linguistiques et la poésie. À travers les histoires individuelles et la fiction, il est question de construire un récit collectif, pensé comme un outil alternatif aux narrations dominantes.
« Si je n’ai pas accès à la vérité, je l’inventerai, je me raconterai moi-même, préférant mes fictions aux mensonges et aux vérités que d’autres fabriquent pour moi, sur moi ». (Gloria Anzaldúa, Ethnic Autohistorias-teorías: Writing the History of the Subject).
En 1989, Gloria Anzaldúa écrit un texte formellement inventif qui oscille entre poésie, récit personnel, commentaire historique et politique. L’essai est une boîte à outils. Anzaldúa encourage une subjectivité active et invite à nous saisir de nos histoires intimes et de la fiction pour façonner nos récits collectifs.
Animée par cet esprit, autohistorias rassemble un groupe d'artistes qui – du XVe au XXIe siècle – ont utilisé le soi comme une manière de raconter l'Histoire, de façonner l'allégorie politique et d’utiliser le récit comme moyen d'émancipation.
autohistorias présente un groupe d’auto-fabulistes, chimères, beautiful liars, chingadas et bad girls qui traversent la complexité avec un flair littéraire, une clarté esthétique et une mémoire performative. La fiction, l’autobiographie et la spéculation deviennent les outils pour composer un récit et une mémoire collective ; une individualité qui n'est pas guidée par des absolus mais par les ambiguïtés.
L'exposition rassemble des œuvres d'artistes étudiant·es et des collections patrimoniales des Beaux-Arts de Paris et celles d’artistes invité·es. Sont présentés autoportraits, collages hybrides, langages inventés, mondes parallèles – faits d’histoires personnelles, d’archives intimes. autohistorias compose un espace-temps commun né de l'intersubjectivité, de l'énonciation et de l'écoute. Les nocturnes du jeudi soir seront l'occasion d'une programmation artistique, détails à venir sur beauxartsparis.fr.
Les Beaux-Arts de Paris sont partenaires de Paris Gallery Weekend, un événement proposé par le Comité professionnel des Galeries d’art qui invite le public du 24 au 26 mai à 3 jours foisonnants d’expositions, de rencontres et d’événements gratuits et en libre accès, dans 101 galeries parisiennes. L’exposition autohistorias s’inscrit dans le parcours VIP de Paris Gallery Weekend.
Skye Arundhati Thomas, Tadeo Kohan, Louise Nicolas de Lamballerie (commissaires en résidence)
Mélanie Bouteloup et Armelle Pradalier (co-responsables de la filière « Artistes & Métiers de l’exposition »)
Conseil scientifique pour les collections des Beaux-Arts de Paris : Giulia Longo, conservatrice des estampes et photographies
Mathilde Badie, Idris Bennai, Elise Bergonzi, Anna Breton, Clara Brevet, Aïssa Diallo, Clémence Gbonon, Anna Giner, Audrey Japaud Garcia, Feryel Kaabeche, Léontine Köhn, Anouk Léger, Mahault Maréchal, Emma O’Quigley, Noah Perrot-Bikie Bi Mbida.
Aya Abu Hawash, Malek Abdelmajeed, Sonia Andrade, Ali Arkady, Mohamed Azouzi, Amanda Baggs, Anna Boghiguian, Mohamed Chafei, Antoine Conde, Alexandre-Gabriel Decamps (d'après), Ladji Diaby, Antoine Dochniak, Jean Louis André, Mehdi Gorbuz, Francisco de Goya, Anis Nabil Harbaoui, Hessie, Lubaina Himid, Liên Hoàng-Xuân, Nina Jayasuriya, Bahar Kocabey, Simone Lagrand, Lalita Lajmi, Hugo Laporte, Nge Lay, Lisa Lecuivre, Huda Lutfi, Sehaj Malik, Nicole, Clarisse Pillard, Lou Reina, Jagdeep Raina, Rembrandt, Roseman Robinot, Vega Royer Gaspard, Saradibiza, Sequoia Scavullo, Mahmoud Sehili, Afrah Shafiq, Margarita Sherstiuk et Igor Kanivets, Elisabetta Sirani, Charwei Tsai, Libo Wei, Alexandre Yang, Mia Yu, Unica Zürn et anonymes.
Mercredi 24 avril - dimanche 30 juin 2024
(L'exposition sera fermée le mercredi 1er mai 2024)
13 quai Malaquais, Paris 6e
Du mercredi au dimanche, 13h-19h
Nocturne le jeudi jusqu’à 21h
2€, 5€ ou 10€ c’est vous qui choisissez !
Programme détaillé des nocturnes à venir sur beauxartsparis.fr
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#beauxartsparis
Du vendredi 22 mars 2024 au dimanche 30 juin 2024
Du mercredi au dimanche, 13h-19h
Cabinet des dessins et des estampes – Jean Bonna
14 rue Bonaparte, 75006 Paris
« Exceptionnel accrochage » Les Echos
« Aux Beaux-Arts de Paris, un lumineux hommage à la famille Tiepolo » La Croix
« Tiepolo & Cie, une famille en or » Connaissance des arts
« De quoi ravir les amateurs d’art… Une collection exceptionnelle de dessins et d'eaux-fortes qui célèbre le génie artistique vénitien du XVIIIe siècle » Sortir à Paris
Cette exposition exceptionnelle rassemble dessins et eaux-fortes de Giambattista Tiepolo et de ses deux fils, Giandomenico et Lorenzo Tiepolo, famille d’artistes virtuoses au XVIIIe siècle à Venise.
Les Beaux-Arts de Paris possèdent un ensemble remarquable de dix feuilles de Giambattista Tiepolo (1696-1770), ce qui en fait la deuxième collection publique de dessins de l’artiste en France. Cette collection est surtout la seule dans l’hexagone à comprendre des dessins non seulement de Giambattista, mais aussi de ses deux fils peintres, Giandomenico (1727-1804) et Lorenzo (1736-1776), ainsi que d’un autre artiste assistant de Tiepolo dans les années 1730, Giovanni Raggi. À elle seule, elle permet donc d’offrir une vue des pratiques graphiques au sein de la famille et de l’atelier.
L’étude de ces feuilles et estampes, associées à des œuvres d’autres artistes, sources d’inspiration, comme Rembrandt, maître comme Piazzetta, ou contemporains (Canaletto, Guardi, Novelli), met en avant la grande modernité de leur art. Celle-ci se déploie particulièrement dans leur capacité à réaliser des variantes d’un même thème, aussi bien à travers les traditionnels sujets religieux et mythologiques que dans les études de figures, en particulier les caricatures, mais aussi dans les scènes de la vie vénitienne. L’exposition interroge également les rapports entre le père et ses fils, et le travail au sein d’une famille d’artistes.
Le parcours commence par un ensemble d’études de têtes et de visages qui posent la question de la formation au sein de l’atelier Tiepolo. Il se poursuit par l’évocation des peintures religieuses et grands décors profanes réalisés par les Tiepolo et leurs contemporains à Venise, puis présente des oeuvres graphiques autonomes, conçues hors de tout projet peint, comme de purs exercices ou délassements graphiques, sur des thèmes iconographiques répétés de manière quasi obsessionnelle, dans de multiples variantes.
C’est l’exceptionnelle capacité d’invention de Giambattista et Giandomenico Tiepolo, une des facettes les plus fascinantes de leurs personnalités artistiques, que ces dessins et estampes permettent de redécouvrir.
Commissaire : Hélène Gasnault, conservatrice des dessins aux Beaux-Arts de Paris.
Commissaire associée : Giulia Longo, conservatrice des estampes et photographies aux Beaux-Arts de Paris.
Un catalogue accompagne l’exposition, avec des textes de Catherine Loisel, conservatrice honoraire du musée du Louvre et spécialiste du dessin italien ancien, Hélène Gasnault, conservatrice des dessins et Giulia Longo, conservatrice des estampes et photographies aux Beaux-Arts de Paris.
Carnet d’études n°58
112 pages
Prix 25 €
du vendredi 22 mars au dimanche 30 juin 2024
(L'exposition sera fermée le mercredi 1er mai 2024)
14 rue Bonaparte, Paris 6e
Du mercredi au dimanche, 13h-19h
2€, 5€ ou 10€ c’est vous qui choisissez !
Du mercredi 24 janvier 2024 au dimanche 17 mars 2024
Du mercredi au dimanche 13h - 19h, nocturne le jeudi jusqu’à 21h
Palais des Beaux-Arts
13 quai Malaquais, 75006 Paris
Des lignes de désir présente les vingt-huit artistes qui ont obtenu leur diplôme national supérieur d'arts plastiques des Beaux-Arts de Paris avec les Félicitations du jury en 2023.
L'exposition, proposée par la commissaire Emilie Villez, rend compte de la diversité des propositions artistiques issues de l'École. Peintures, sculptures, installations et vidéos cohabitent avec les pratiques de performance et d'édition, présentées à travers une programmation hebdomadaire.
Chemins tracés dans un paysage par l’érosion de la marche d’humains ou d’animaux, les lignes de désir, aussi appelées chemins du libre arbitre, sont de douces remises en cause du système. La critique des excès de la modernité constitue un sous-texte chez les artistes présenté·es.
Sortir des sentiers battus, tout en trouvant sa place dans l’écosystème de l’art : l’enjeu de l’exposition est avant tout de présenter au public un panorama de pratiques artistiques contemporaines, ouvrant des pistes de résonance et de réflexion sur l’art et le monde d’aujourd’hui.
Des événements seront proposés chaque semaine, programme détaillé à venir sur beauxartsparis.fr.
À l'occasion du vernissage le 23 janvier, une performance inaugurale est proposée par Rose Bourdon : DIPLÔMÉ.ES est une pièce de théâtre collective dans laquelle cinq étudiantes de l’École parmi la foule jouent à la première personne les rôles d’alumni dont les vies-témoignages ont été recueillis lors d’appels téléphoniques au cours des derniers mois. Les acteurs portent chacun une couronne de laurier « alloro trionfale » qui les distingue du reste du public, symbole populaire du rite de passage du diplôme. Les témoignages sont documentés et archivés dans une édition réalisée par Margot Bernard.
Une publication accompagne l'exposition.
Parmi les 96 étudiant·es diplômé·es en 2023, 28 ont obtenu les Félicitations du jury composé d'Eva Barois de Caevel,
commissaire d'exposition, Sébastien Gökalp, directeur du Musée national de l'histoire de l'immigration, Claire Le Restif,
directrice du Centre d'art contemporain d'Ivry - Le Crédac, Mélanie Matranga, artiste, Elena Sorokina, commissaire
d'exposition et historienne de l'art, Stéphane Thidet, artiste, et Emilie Villez, commissaire d'exposition.
Carl AMIARD, Raphaëlle BENZIMRA, Joséphine BERTHOU, Thomas BESSET, Rose BOURDON, Marion CHAILLOU, Béryl COULOMBIÉ, Arthur DUJOLS-LUQUET, Yanma FOFANA, Milana GABRIEL, Thibault HISS, Nina JAYASURIYA, Louis LANNE, Louise LE PAPE, Sehyoung LEE, Marc LOHNER, Amandine MASSÉ, Pierre MÉRIGOT, Elise NGUYEN QUOC, Théo PALL, Océane PILASTRE, Margot POISSON, Victor PUŠ-PERCHAUD, Valentin RANGER, Sofia SALAZAR ROSALES, Gabrielle SIMONPIETRI, Anna STELLITTANO, Antonia TIETZE
Emilie Villez est commissaire d’exposition. Elle s’intéresse aux méthodologies artistiques et curatoriales, à la construction des institutions et à leurs écosystèmes. Sa pratique crée des mises en relations entre praticien·nes de différentes générations et géographies, utilisant divers médiums, adoptant la décentralisation comme méthode.
Directrice de la fondation KADIST à Paris de 2013 à 2023, elle a développé un programme d’expositions personnelles et collectives à Paris et au sein d’institutions partenaires internationales, avec des artistes et des commissaires invité·es de toutes régions. Elle a également contribué et continue à enrichir la collection de la fondation avec l'acquisition d’oeuvres d’artistes émergeant·es et confirmé·es.
L'exposition est accompagnée de la publication d'un catalogue.
Préfaces d'Alexia Fabre et Emilie Villez.
Entretiens avec chacun·e des artistes par les critiques d'art Marjorie Bertin, Aurore Forray, Henri Guette, Emmanuelle Luciani, Camille Paulhan, Anne-Laure Péressin, 4 pages sont consacrées à chaque Félicité·e.
Programmation nocturne autour de l'expo
Les Inrocks « 28 jeunes artistes tissent leur toile aux Beaux-Arts de Paris »
Libération «Félicités 2023» : les diplômés des Beaux-Arts de Paris montrent leurs beaux desseins »
L’Humanité « Sculpture, court-métrage, performance : la relève s’expose aux Beaux-Arts de Paris »
Beaux Arts Mag 5 diplômés des Beaux-Arts de Paris qui nous ont bluffés
Du mardi 17 octobre 2023 au dimanche 17 décembre 2023
Du mercredi au dimanche, 13h-19h
Cabinet des dessins et arts graphiques
14 rue Bonaparte, 75006 Paris
Cette exposition inaugure une programmation réflexive mise en œuvre par l’équipe de la conservation des Beaux-Arts de Paris afin de mettre en perspective le présent
singulier de cette école-musée par son histoire tout aussi unique et fondatrice de la pensée muséale en France.
À partir d’une dizaine de figures emblématiques - architecte, conservateur·ice, donateur·ice -, La Fabrique des collections incarne les principales étapes de la constitution d’un patrimoine qui a toujours vocation à nourrir l’imaginaire des jeunes artistes. De l’Académie royale à la seconde moitié du XXe siècle, cette exposition révèle une histoire méconnue et devenue en grande partie imperceptible, incarnée par des personnages hauts en couleur et pavée d’anecdotes fondatrices. Associant des objets de différente nature, œuvres et archives, dans un schéma narratif commun, l’exposition prend un parti résolument contemporain.
Les collections des Beaux-Arts de Paris doivent beaucoup à Alexandre Lenoir, peintre et critique d’art qui crée à l’emplacement futur de l’École le premier musée consacré à l’art français, appelé musée des monuments français, dont la vocation principale est pédagogique. Les éléments monumentaux qui demeurent à la fermeture de ce musée constituent, avec les collections héritées des Académies royales, le noyau du « musée des études » construit par l’architecte Félix Duban et conçu par le premier conservateur de l’École, Louis Peisse. Son développement repose ensuite sur l’action d’Eugène Müntz, initiateur de son inventaire, ou encore de Wanda Bouleau-Rabaud, première femme conservatrice aux Beaux-Arts de Paris.
Le musée est aussi fondé sur la générosité, grâce à l’afflux de plusieurs centaines de legs et dons dont le contenu comme les motivations sont d’une grande diversité : anciens élèves de l’École, comme l’architecte Joseph Michel Lesoufaché ou le graveur Jacques Edouard Gatteaux ; personnages politiques à l’instar de Victor Schoelcher ; philanthropes méconnu·es, comme Célestine Chenavard, ou encore des collectionneurs amoureux d’un lieu atypique, à l’instar de Jean Masson ou Mathias Polakovits. Chacun·e, à leur manière, ont fait les collections des Beaux-Arts de Paris.
Une quarantaine d’œuvres, pour la plupart inédites, seront présentées. Parmi elles, une sanguine de Charles Le Brun préparatoire à un Mai de Notre-Dame, un dessin d’Ingres, survivant miraculeux aux incendies de la Commune, ainsi qu’une esquisse de jeunesse à la plume de Georges Rouault. Des œuvres inattendues seront également à découvrir, comme l’estampe relative à l’abolition de l’esclavage de David Lucas ou le journal intime de la responsable des collections de l’École pendant les événements de Mai 68.
Un catalogue est publié à l'occasion de l'exposition.
Hélène Gasnault, conservatrice des dessins, Estelle Lambert, conservatrice des manuscrits et imprimés, et Alice Thomide-Berrada, responsable des collections et conservatrice des peintures, sculptures et objets aux Beaux-Arts de Paris.
« Aux Beaux-Arts de Paris, des trésors de collections » - Libération
« À ses donateurs, l’École des Beaux-Arts reconnaissante » - Le Figaro
14 rue Bonaparte, Paris 6e
Du mercredi au dimanche, 13h-19h
2, 5 ou 10 €, c’est vous qui choisissez !
Du jeudi 1 juin 2023 au dimanche 16 juillet 2023
Du mercredi au dimanche 13h - 19h, nocturne le jeudi jusqu’à 21h
Palais des Beaux-Arts
13 quai Malaquais, 75006 Paris
Dans la continuité du « Théâtre des expositions », la quatrième promotion de la filière « Artistes & Métiers de l’exposition » propose l’exposition-programme Sur le feu. Conçue à partir d’œuvres de la collection et des pièces d’étudiantes, d'étudiants et d’artistes contemporains, Sur le feu entend valoriser l’ensemble des ressources de l’École pour faire partager au public les multiples formes de vie et de création qui mijotent aux Beaux-Arts de Paris.
Comment animer une exposition ? La rendre vivante ? Que serait-ce de l’habiter ? Le projet se déploie en trois principes d’actions thématiques.
Le premier lève le voile sur ce que sont les Beaux-Arts de Paris, en rendant visibles leurs coulisses. Le second est une invitation à la convivialité et au vivre ensemble au sein même de l’exposition. Le troisième fait rejaillir vers l’extérieur cette émulation collective.
Cette révélation progressive, allant jusqu’au débordement, fait le pari d’une exposition vivante et en constante évolution, où les événements, projections, workshops et tables-rondes participent au propos au même titre que les œuvres présentées. Résolument prospective, l’exposition dépasse la simple visite et transporte les visiteurs dans l’expérience de l’interaction et de l’activation.
De semaines en semaines – de feu doux à feu fort – l’intensité va crescendo, l’exposition s’anime, dévoile ses secrets et surprises et invite le public à alimenter son feu. Ici, des œuvres vous accueillent pour une sieste ; là, vous êtes attendus pour un grand buffet. Les visiteurs pourront contribuer à de nombreux ateliers : couture, fabrication de fanzines, calques et reproduction d’œuvres de la collection, réparation, manucure… ou simplement venir écouter un concert ou suivre une table-ronde. Chacun.e pourra également devenir commissaire d’expositions à élaborer sur place à partir de la base de données des collections, grâce à un dispositif interactif et immersif proposé par EBB et Neïl Beloufa.
Les œuvres patrimoniales offriront des perspectives décalées sur l’histoire des Beaux-Arts de Paris. Les artistes invités – artistes confirmés ou étudiants – proposeront des œuvres qui, portées, produites sur place ou dégustées, se multiplieront tout au long de l’exposition. Les Beaux-Arts de Paris deviennent ainsi un musée vivant dans lequel visiteurs et artistes sont invités à co-créer.
Antariksa, Andréanne Béguin, Qu Chang, commissaires en résidence ;
Mélanie Bouteloup et Armelle Pradalier, co-responsables de la filière « Artistes & Métiers de l’exposition »
Juliette Barthe, Ugo Casubolo Ferro, Bruna Luiza Costa Pessoa, Assia Cuche Barkat, Darya Danilovich, Louise Feneyrou-Py, Camille Florance, Enzo Meglio, Baptiste Meillier, Camille Paillou, Melissa Vazquez, Bruna Vettori, Lucie Wahl, étudiants de la filière « Artistes & Métiers de l’exposition ».
Bérénice Ahadji, Programme AIMS, Ilaria Andreotti, Gilad Ashery, Ece Bal & Leïla Vilmouth, Morgane Baffier, Hans Baldung, Ors Batmaz, Neïl Beloufa & EBB, Yassine Ben Abdallah, Margot Bernard, Sacha Boccara, Mehdi Bouali, Rose Bourdon, Brieuc Bouwens, Alfred-Henri Bramtot, Thomas Buswell, Café Héloïse, Sila Candansayar, La Caverne, Doreen Chan, Félix-Auguste Clément, Gaëlle Choisne, Pô, Georges-Ernest Coquart, Clément Courgeon, Alphonse Dargent, Jean-Baptiste Deshays, Jean-Amédée Despin, François-Théodore Devaulx, Vincent van der Donk, Princesse Diakumpuna, Maria Eichhorn, Extra-Lucide (Hélène Garcia & Emile Degorce-Dumas), Amor Fati, Nicolas Faubert, Andreas Février, Lina Filipovitch, Les Francas, Céleste Ingrand, Freddy Kitchen, Olivia Funès Lastras, Félix-Henri Giacomotti, Anna Giner, Marie Glaize & Louis Clais, La Glaneuse, Amine Haddad, Georges-Jean-Marie Haquette, association Heart Street, Ninon Hivert, atelier Huynh, Ignis, Ingela Ihrman, Ana Jotta, Djiby Kebe, Konstantin Kyriakopolous & Chloé Royer, Maxime Laguerre et Lili Levy-Lajeunesse, Louis Lanne, Cynthia Lefebvre, Charles-Jacques Lebel, Franck Leibovici et Yaël Kreplak, Clara Le Meur, Nicolas-Bernard Lépicié, Julie Le Toquin, Marc Lohner, Sofia Magdits, Iman Malik, Karel van Mander, Chef Marouane, Wesley Meuris, Gabriel Moraes Aquino, Neeve Moule Drige, Eadweard Muybridge, Kiek Nieuwint, Elia Nurvista, Joachim Olender, Clara Paillette, Papier Saint Germain, Lyz Parayzo & Nicole Mera, Amol Patil, Fernand Pelez, Mathis Perron, Hatice Pinarbasi, Jonathan Pouthier, Edouard Pourchet, atelier Prévieux, Caroline Rambaud, Loïc Rouillé, Sofia Salazar Rosales, Lana Salvatori, Eva Gabrielle Sarfati, Pascal Sébah, Isadora Soares Belletti, Pierre Soulez-Larivière, Fanny Taillandier, Benjamin Ulmann, Qingmei Yao, Anissa Zrioui et bien d’autres...
Jeudi 1er juin - dimanche 16 juillet 2023
13 quai Malaquais, Paris 6e
Du mercredi au dimanche, 13h-19h
Nocturne le jeudi jusqu’à 21h
2, 5 ou 10 €, c’est vous qui choisissez !
Jeudi 20 avril 2023
18H30 - 19H30
Palais des Beaux-Arts
13 quai Malaquais, 75006 Paris
Visite thématique de l’exposition Gribouillage / Scarabocchio – De Léonard de Vinci à Cy Twombly par deux artistes diplômées des Beaux-Arts de Paris, Bianca Argimón et Elvire Caillon.