Du mercredi 19 mai 2021 au dimanche 18 juillet 2021

mer. au dim. 13h-19h

Cabinet de dessins Jean Bonna

14 rue Bonaparte, 75006 Paris

Entrée sans réservation préalable

La mort, Eros, le gothique, les puissances naturelles ou l’exotisme... le romantisme s'empare de ces thèmes et explore les mystères de la vie humaine. À travers une trentaine de ses plus belles feuilles, aux techniques variées comme le graphite, la plume ou l'aquarelle, le parcours met en lumière la richesse du dessin romantique et présente des œuvres signées Géricault, Delacroix, Victor Hugo ou encore Scheffer.

C’est entre 1815 et 1850 que le dessin romantique connaît son apogée dans un contexte artistique plein de vitalité. Les Beaux-Arts de Paris se proposent d’en esquisser les spécificités – extravagance, lyrisme, désespoir et démesure – à travers des œuvres de sa collection pour la plupart inédites.

Attirés par les voyages lointains, les scènes héroïques, le spectacle de la nature, les artistes romantiques se forgent un nouvel univers fantastique et audacieux qui séduit les collectionneurs passionnés, dont certains font don de leurs dessins aux Beaux-Arts de Paris : His de la Salle (1867), Edouard Gatteaux (1883) ou encore Alfred Armand (1908).

Les Beaux-Arts de Paris dévoilent pour cette exposition une partie de cet ensemble, premières pensées mais aussi œuvres achevées exécutées dans des techniques aussi variées que le graphite, la plume ou l’aquarelle.

Grâce à la générosité de l’association Le Cabinet des amateurs de dessins de l’École des Beaux-Arts, mais aussi l’aide du Fonds du Patrimoine du Ministère de la culture, les Beaux-Arts de Paris ont pu acquérir des pièces majeures de cette époque, comme les Six chevaux en liberté d’Horace Vernet, La conversion de Saint Paul et Une femme à cheval en amazone devant un paysage d’Eugène Delacroix, Le Château de Corbus de Victor Hugo, L’orage en mer d’Eugène Isabey, la Ballade de Léonore de Célestin Nanteuil, l’Etude de femme relevant sa chevelure et de mendiante tenant son enfant de Théodore Chassériau et plus récemment encore Eberhard le larmoyeur et Ossian évoquant les fantômes sur les bords du Lora d’Ary Scheffer.

 

Commissaire d'exposition : Emmanuelle Brugerolles

 

Une publication accompagne l'exposition.

 

BILLETTERIE RESPONSABLE 

 

2, 5 ou 10 €, c’est vous qui choisissez !

La billetterie responsable invite chaque visiteur venant découvrir une exposition aux Beaux-Arts de Paris à choisir son ticket d’entrée parmi 3 tarifs proposés : 2 €, 5€ ou 10 €. Contribuez selon vos moyens, votre passion et votre désir d’engagement !

Gratuité (sur présentation d’un justificatif en cours de validité) :

• moins de 18 ans

• étudiants et enseignants des écoles nationales supérieures d’art et d’architecture du Ministère de la Culture

• étudiants des institutions membres de l’Université Paris-Sciences-et- Lettres (PSL)

• étudiants de l’École du Louvre

• titulaires de la carte du Ministère de la Culture

• Amis des Beaux-Arts de Paris

• détenteur des cartes : Maison des Artistes, ICOM, ICOMOS, Association française des commissaires d’exposition (CEA)

• journalistes

• demandeurs d’emploi, bénéficiaires des minima sociaux

• handicapés civils et mutilés de guerre (avec un accompagnateur)

 

Du mercredi 3 février 2021 au dimanche 21 mars 2021

En ligne le 3 février 2021

L'atlas

latlas.beauxartsparis.fr

Exposition à retrouver sur latlas.beauxartsparis.fr, la galerie virtuelle des Beaux-Arts de Paris, avec une interview exclusive de l’artiste Jean Bedez et de la commissaire d’exposition Emmanuelle Brugerolles.

En raison des dernières dispositions gouvernementales l'exposition Jean Bedez, De Sphaera Mundi n'est pas accessible au public dans l’immédiat. Elle est ouverte pour le moment uniquement sur rendez-vous aux professionnels dans le plus strict respect des conditions sanitaires.

L’exposition présente un ensemble d’œuvres inédites de l’artiste, notamment une série éponyme créée en 2019, ainsi que des œuvres exceptionnelles réalisées pour l’occasion. Elle offre une exploration cosmique revisitant des mythes, en résonance avec les collections de l’École.

Les dessins à la mine de graphite de Jean Bedez proposent des représentations du monde contemporain qui fonctionnent comme des allégories modernes : entre pouvoir politique et religieux, culture du spectacle ou encore rôle du citoyen, ils explorent les rapports de domination dans nos sociétés. De sphaera mundi – Sur la sphère du monde, est l'occasion de présenter un ensemble d'œuvres inédites de l'artiste, notamment une série éponyme créée en 2019, ainsi que trois œuvres exceptionnelles réalisées pour l'exposition.

La série de dessins De Sphaera mundi confronte des planisphères du XIIe siècle tirés de La théorie des planètes de Gérard de Crémone aux images d'une comète observée par la sonde spatiale Rosetta ; les cartographies médiévales se téléscopent à la plus récente technologie spatiale. Les trois grands dessins réalisés s'inspirent d'une sculpture de Michel-Ange, datée d'environ 1530 et très abîmée par le temps, représentant le combat le combat d'Hercule contre Cacus. Dans les œuvres de Jean Bedez, le grand Hercule, faisant mordre la poussière à Cacus, redevient poussière lui-même. Son bras droit, celui même qui tient son arme fétiche, a disparu. La ruine le gagne, lumière et ténèbres s'affrontent dans un paysage chaotique. C’est cet Héraclès, abîmé, fragile, qu’évoque Jean Bedez, du moins son aptitude médiocre à parvenir jusqu’à nous intègre, fidèle à lui-même, propriétaire sans concession de la puissance inouïe qui lui était échue. Mais la mythologie n'est pas la seule affaire de l'artiste, chaque motif est chez lui l'écho d'une réalité alchimique, astrophysique, politique, poétique, ésotérique. C'est ce que donnent à voir ses œuvres, détails d'une cosmogonie infinie et labyrinthe qui n'en est qu'à ses débuts.

Diplômé des Beaux-Arts de Paris en 2001, Jean Bedez reçoit dès 1999 le prix artistique de peinture Lucien Quintard à l’académie de Stanislas de Nancy pour un travail graphique conceptuel questionnant la notion d’œuvre autographe et le rapport au Temps. À la fois sculpteur et dessinateur, il a notamment exposé au Crac Languedoc Roussillon, à la galerie Suzanne Tarasiève, à la galerie Albert Baronian, au Musée des Arts Décoratifs ou encore au Palais de Tokyo.

Du jeudi 10 juin 2021 au dimanche 18 juillet 2021

mer. au dim. 13h -19h (nocturne mer. 21h) - Entrée sans réservation préalable

Palais des Beaux-Arts (salle Foch)

13 quai Malaquais, 75006 Paris

Entrée sans réservation préalable.

 

Figure majeure de l'art contemporain, Sammy Baloji présente sa première exposition personnelle dans une institution parisienne, invité par le Festival d’Automne à Paris et les Beaux-Arts de Paris, dans le cadre de la Saison Africa 2020.


L’exposition met en relation des œuvres repérées à l’issue d’investigations récentes sur l’empire Kongo et d’autres objets qui ont transité entre pays du « Sud » et pays du « Nord » comme les célèbres « Tentures des Indes ».


Résident de la Villa Médicis à Rome en 2019, Sammy Baloji expose ici les résultats des recherches qu’il a poursuivies sur les échanges politiques, religieux et commerciaux qui se sont établis entre le royaume Kongo, le Portugal et le Vatican dès le XVIe siècle.


Un ensemble de dessins et une série de transferts sur plaques de cuivre ont été produits à partir du détail de la trame géométrique de tissages Kongo en fibre de raphia, emblèmes de prestige social. Sammy Baloji s'est particulièrement intéressé au parcours patrimonial de ces objets : initialement intégrés aux collections des cabinets de curiosité dans les premiers musées romains de la Renaissance, ils ont été transférés au XIXe siècle dans des musées d'ethnographie. Sous la forme d’un groupe de panneaux en bois gravés et peints, il revient par ailleurs sur l’usage de ces mêmes motifs par le musée colonial de Tervuren - fondé à la toute fin du XIXe siècle à proximité de Bruxelles - où ils servaient d’éléments de décor au sein d’une architecture art nouveau.


Par ailleurs, les Tentures des Indes, tissées dès la fin du XVIIe siècle par la Manufacture Royale des Gobelins, ont pour modèles les œuvres de deux peintres ayant vécu dans les Indes de l’Ouest au temps de la colonisation hollandaise du Nord-Est du Brésil. Elles décrivent des paysages exotiques où sont représentés, au milieu d'une faune abondante, le quotidien des Indiens et des esclaves noirs ou encore des événements
diplomatiques locaux.


Qu’elles soient de la main de l’artiste ou simplement empruntées, ces œuvres témoignent de la complexité d’une histoire d’échanges, de transactions et d’exploitation. Elles donnent à voir les effets contextuels et institutionnels d’un récit écrit par l’Europe et qui les a tour à tour traitées en outils de diplomatie,œuvres d’art, artefacts ethnographiques ou simples éléments de décor.

 

L’exposition aux Beaux-Arts de Paris est le résultat d’un travail collectif auquel ont participé :
Lucrezia Cippitelli, historienne de l’art, pour les recherches documentaires sur les collections italiennes ; Anne Lafont, historienne de l’art, auteur d’un essai sur la contextualisation de ces tapisseries ; Jean-Christophe Lanquetin, scénographe, pour un travail de recherche et de développement autour de la mise en scène de l’exposition ; Inès Di Folco et Elena Valtcheva, pour l’interprétation des tissus Kongo sur toiles ; Cécile Fromont, professeure associée d’histoire de l’art à l’université de Yale aux États-Unis et résidente 2020-2021 de l’Institut d’études avancées de Paris // Lumières, Lionel Spycher et William Lambert // Montage, Artcomposit // Exposition produite par le Festival d’Automne à Paris // En collaboration avec les Beaux-Arts de Paris // Manifestation organisée dans le cadre de la Saison Africa 2020 avec le soutien de son Comité des mécènes constitué de : Fondation Gilbert et Rose-Marie Chagoury, Orange, Total Foundation, Axian, Groupe Sipromad, JCDecaux, Pernod Ricard, Sanofi, Société Générale, VINCI, CFAO, ENGIE, Thales, Thomson Broadcast et Veolia // Avec l’aide de la Cité internationale des arts // Avec le soutien de Sylvie Winckler // En partenariat avec France Culture

 

 

logo FA

 

www.festival-automne.com

 

 

Crédit photo : Sophie Nuytten

 

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Gratuité (sur présentation d’un justificatif en cours de validité) :

• moins de 18 ans

• étudiants et enseignants des écoles nationales supérieures d’art et d’architecture du Ministère de la Culture

• étudiants des institutions membres de l’Université Paris-Sciences-et- Lettres (PSL)

• étudiants de l’École du Louvre

• titulaires de la carte du Ministère de la Culture

• Amis des Beaux-Arts de Paris

• détenteur des cartes : Maison des Artistes, ICOM, ICOMOS, Association française des commissaires d’exposition (CEA)

• journalistes

• demandeurs d’emploi, bénéficiaires des minima sociaux

• handicapés civils et mutilés de guerre (avec un accompagnateur)

 

Du vendredi 18 septembre 2020 au samedi 14 novembre 2020

mer. & sam. 14h-18h dim. 12h-18h

Château de Rentilly

1 rue de l'Etang, 77600 Bussy-Saint-Martin

Chefs-d’œuvre de la collection des Beaux-Arts de Paris et œuvres contemporaines. 

Une exposition conçue par la nouvelle filière « Métiers de l’exposition » des Beaux-Arts de Paris. La filière « Métiers de l’exposition » est une nouvelle filière professionnalisante, proposée aux étudiants de 3e année des Beaux-Arts de Paris, conçue en partenariat avec le Palais de Tokyo.

Frac île-de-france, le château / Parc culturel de Rentilly - Michel Chartier

Jean-Michel Alberola, Ismaïl Bahri, Evgen Bavcar, Hicham Berrada, Christian Boltanski, Xavier Boussiron, Flora Bouteille, Pierre Louis Deseine, Jean Baptiste Désoria, Marcel Duchamp, Albrecht Dürer, Nina Galdino, Matthias Garcia, Jacques-Fabien Gautier d'Agoty, Théodore Géricault, Francisco de Goya, Graham Gussin, Lucien Hervé, Hans Holbein le Jeune, Pierre Huyghe, Claire Isorni, Ann-Veronica Janssens, Christian Lhopital, Marc Lochner, Antoine Marquis, Bernhard Martin, Romain Moncet, Damien Moulierac, Alicia Paz, Benoît Pype, Valentin Ranger, Hugues Reip, Bettina Samson, Pierre-Alexandre Savriacouty, Alain Séchas, Valérie Sonnier, Victor Yudaev, Tereza Zelenková…

En référence au célèbre cabaret à thèmes installé à la fin du XIXe siècle à Montmartre et qui déployait son ambiance parodique et funèbre en se jouant avec une ironie sulfureuse de situations macabres, le Frac Île-de-France et la Communauté d’Agglomération de Marne et Gondoire présentent, du 18 septembre au 15 décembre 2020 au Château de Rentilly, Le Cabaret du Néant, une exposition conçue par la nouvelle filière « Métiers de l’exposition » des Beaux-Arts de Paris, qui associe des artistes contemporains aux chefs-d’œuvre de la collection des Beaux-Arts de Paris.

Du tragique au parodique en fonction des évolutions de la société et de ses mœurs, des convictions religieuses comme des découvertes scientifiques, le sujet : « souviens-toi que tu vas mourir » parcourt l’art et la littérature. Depuis les fameuses danses macabres apparues au XVe siècle, il n’a cessé d'interpeller publics et créateurs tout en subissant des transformations profondes. Contemporaine du célèbre cabaret du néant installé en 1892 boulevard de Clichy (Paris 18e) et qui donne son titre à l’exposition, la notion du néant connaît une autre interprétation, une autre vision d’un même abîme, pas moins terrible mais plastiquement inverse ; celle qui, dans le sillage de Mallarmé, conduit à considérer la vie humaine comme « de vaines formes de la matière (...) s’élançant forcément dans le rêve qu’elle sait n’être pas (...) et proclamant, devant le Rien qui est la vérité, ces glorieux mensonges ! ». Le rôle du poète et donc de l’art consisterait ainsi, selon Mallarmé, à tirer l’homme de ce « Rien », comme du fond d’un naufrage, par le jeu suprême de la création. 

 

Frac île-de-france, le château
Parc culturel de Rentilly – Michel Chartier
1, rue de l’Étang
77600 Bussy-Saint-Martin
T +33 (0)1 60 35 46 72
fraciledefrance.com

 

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Du mercredi 21 février 2018 au dimanche 20 mai 2018

Palais des Beaux-Arts

13 quai Malaquais, 75006

Fruit des regards croisés de deux disciplines souvent opposées, l’histoire de l’art et l’histoire, cette exposition propose une lecture documentée de ce moment particulier de l’histoire contemporaine, les années 1968-1974, où l’art et le politique, la création et les luttes sociales et politiques furent intimement mêlés.

L’exposition n’est pas une histoire visuelle du politique mais une histoire politique du visuel. Elle présente des affiches, des peintures, des sculptures, des installations, des films, des photographies, des tracts, des revues, des livres et des magazines, dont quelque 150 publications consultables dans le cadre d’une bibliothèque ouverte.

C’est donc un long cortège qui est ici dévoilé, qui commence dans les grandes manifestations contre la guerre du Vietnam, s’attarde dans l’Atelier populaire des Beaux-Arts en mai et juin 1968 pour, dans les années suivantes, parcourir les boulevards parisiens, occuper les usines, les mines, les universités, les prisons et tant d’autres lieux dans toute la France.

Infos pratiques 

Palais des Beaux-Arts
du mardi au dimanche
de 13h à 19h
13 quai Malaquais
Paris 6e

Tarif : 7,50€
Tarif réduit : 4,00€
Gratuité pour les étudiants

Commissaires : Philippe Artières et Éric de Chassey

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Du lundi 1 octobre 2018 au vendredi 11 janvier 2019

Cabinet de dessins Jean Bonna

14 rue Bonaparte, 75006

Riche de plus de 40 000 dessins d’architecture, les Beaux-Arts de Paris dévoilent cet automne une partie de cette collection, en exposant trente-quatre aquarelles portant sur des projets d'architecture conçus lors de la formation des jeunes architectes sous le Second Empire.

Les dessins exposés, datés entre 1848 et 1867, constituent une véritable mémoire visuelle de l’enseignement académique dispensé aux élèves de la section d’architecture et un miroir où se reflètent les modes architecturales de cette seconde moitié du XIXe siècle.

Commissariat : Emmanuelle Brugerolles. 

2 octobre 2018 au 12 janvier 2019
14, rue Bonaparte
75006 Paris

du lundi au samedi
de 13h à 18h 

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Du vendredi 12 octobre 2018 au samedi 5 janvier 2019

Beaux-Arts de Paris

14 rue Bonaparte, 75006

Nairy Baghramian est l'invitée du Festival d'Automne 2018 à Paris. Née en 1971 à Isfahan (Iran), elle vit et travaille à Berlin. L’an passé son travail a été présenté au sein de plusieurs grandes manifestations internationales comme la Documenta de Cassel, le Skulptur Projekt de Münster et la Biennale de Lyon. Plusieurs expositions monographiques lui ont été consacrées récemment dans des musées comme le musée de la Reina Sofia à Madrid (2018), le Walker Art Museum de Mineapolis (2017), le SMAK de Gand (2017) ou le Museo Tamayo de Mexico (2015).

Elle présentera aux Beaux-Arts sa première exposition monographique en France. 

13 octobre 2018 au 6 janvier 2019
14, rue Bonaparte
75006 Paris

du mardi au dimanche
de 13 h à 19h 

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Du vendredi 12 octobre 2018 au samedi 5 janvier 2019

Palais des Beaux-Arts

13 quai Malaquais, 75006

La découverte de l’œuvre de Georges Focus produite lors de son enfermement aux Petites Maisons suscite aujourd’hui l’étonnement, pour ne pas dire un choc, qui nous bouleverse. Elle nous inspire le sentiment de l’inédit, du jamais vu, et remet en cause nos idées reçues.

Georges Focus, membre de l'Académie royale de peinture et de sculpture sous Louis XIV, eut une double production artistique, académique d'une part, personnelle et intime, d'autre part.

L'étonnant corpus réuni en France pour la première fois au Palais des Beaux-Arts, soit environ 80 dessins ainsi que des estampes et des peintures provenant de l’université d’Édimbourg, de collections particulières et d’institutions publiques dont les Beaux-Arts de Paris, rend compte de sa trajectoire unique.

Une occasion d'explorer l'œuvre exceptionnelle et singulière d'un artiste de l'époque de Louis XIV, atteint de folie.

Commissariat : Emmanuelle Brugerolles 

13 octobre 2018 au 6 janvier 2019
Palais des Beaux-Arts
13, Quai Malaquais
75006 Paris

du mardi au dimanche
de 13 h à 19h 

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Du vendredi 12 octobre 2018 au samedi 5 janvier 2019

Palais des Beaux-Arts

13 quai Malaquais, 75006

En parallèle de l'exposition Georges Focus (1644-1708), La folie d'un peintre sous Louis XIV, l’exposition Robert Walser - Grosse kleine Welt Grand petit monde présente pour la première fois en France un choix d’une cinquantaine de microgrammes de l’écrivain Robert Walser.

Sur des fragments de papiers d’origines diverses (télégrammes, pages de calendrier, lettres d’éditeur), Robert Walser composa au crayon dans une écriture minuscule des textes en prose ou des poèmes. Ces microgrammes ne furent déchiffrés et retranscrits que longtemps après sa mort.

Une exposition conçue par Marie José Burki et Richard Venlet.

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Du jeudi 24 janvier 2019 au samedi 23 février 2019

Chapelle des Petits-Augustins

14 rue Bonaparte, 75006

« Formes Limites » est une exposition dédiée à la céramique, qui rassemble des œuvres d’art, des travaux de céramistes, des objets de design ou des éléments issus de l’industrie. Elle met en évidence le potentiel sculptural de ces matériaux. Chacune des œuvres présentées témoigne d’une approche spécifique de la céramique, et de sa mise en forme. Enseignée aux Beaux-Arts de Paris, elle s’inscrit dans notre époque par ses qualités tant techniques qu'esthétiques. L’exposition, qui se tient dans la Chapelle des Petits-Augustins, au centre d’un décor unique de copies sculptées et peintes hérité du XIXe siècle, témoigne d'un regain d’intérêt pour une technique qui valorise les savoir-faire et la fabrication manuelle.

Artistes présentés : Philippe Barde, Karen Bennicke, Emmanuel Boos, Pia Camil, Tony Cragg, Ceràmica Cumella, Martine Damas, Richard Deacon, Helen Marten, Koyo Matsui, Ryo Mikami, Emilie Pedron, Bettina Pousttchi, Lucie Rie, Fumio Shimada, Ettore Sottsass, Takashi Tanaka, Makoto Toyofuku, Kato Toyohisa, Marc Uzan, Élise Vandewalle, Betty Woodman, Naoki Yamamoto.

Commissaire et scénographe : Jessica Boubetra.

Du 25 janvier au 24 février 2019
du mardi au dimanche
de13h à 19h

Chapelle des Petits Augustins
14, rue Bonaparte
75006 Paris
Entrée libre

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