La Villette invite la jeune création à investir la Grande Halle et le parc dans le cadre de la 6e édition du festival 100%. En collaboration avec des écoles françaises au rayonnement international, 100% L’EXPO présente une sélection de talents récemment diplômés. Arts plastiques et numériques, cinéma, design, stylisme ou photographie, l’exposition offre un large panel de pratiques et vise à mettre la lumière sur les enjeux des débuts de carrière. Les week-ends seront l’occasion de rencontres, performances et clubbing
Qu’est ce qui anime les artistes à leur sortie d’école ? Est-ce qu’un artiste né au 3e millénaire envisage autrement son rôle dans la société ? Quels sont les enjeux d’un début de carrière pour un artiste ? Ce sont quelques-unes des questions posées par l’exposition.
Du 27 mars au 28 avril, 100% L’EXPO accueille pour cette édition deux nouvelles écoles, les Beaux-Arts Nantes Saint-Nazaire et l’Ecole nationale supérieure d’Arts de Paris-Cergy, qui viennent rejoindre les Beaux-Arts de Paris, l’École des Arts Décoratifs, les Beaux-Arts de Marseille – INSEAMM et la Villa Arson.
À cette occasion La Villette collabore également avec la Fondation Culture & Diversité.
Artistes des Beaux-Arts de Paris : Solveig Burkhard, Marion Chaillou, Louise-Margot Décombas, Côme Ferrasse, Maïa Lacoustille, Elise Nguyen Quoc, Lyz Parayzo, Sofia Salazar Rosales.
Infos pratiques
La Villette
211 avenue Jean Jaurès, Paris 19e
Gratuit
Du 27 mars au 28 avril
Du mercredi au dimanche, 14h-19h
L'exposition Les Tiepolo sera fermée exceptionnellement jusqu'au dimanche 2 juin. Veuillez nous excuser pour la gène occasionnée.
« Exceptionnel accrochage »Les Echos
« Aux Beaux-Arts de Paris, un lumineux hommage à la famille Tiepolo »La Croix
« Tiepolo & Cie, une famille en or » Connaissance des arts
« De quoi ravir les amateurs d’art… Une collection exceptionnelle de dessins et d'eaux-fortes qui célèbre le génie artistique vénitien du XVIIIe siècle »Sortir à Paris
Cette exposition exceptionnelle rassemble dessins et eaux-fortes de Giambattista Tiepolo et de ses deux fils, Giandomenico et Lorenzo Tiepolo, famille d’artistes virtuoses au XVIIIe siècle à Venise.
Les Beaux-Arts de Paris possèdent un ensemble remarquable de dix feuilles de Giambattista Tiepolo (1696-1770), ce qui en fait la deuxième collection publique de dessins de l’artiste en France. Cette collection est surtout la seule dans l’hexagone à comprendre des dessins non seulement de Giambattista, mais aussi de ses deux fils peintres, Giandomenico (1727-1804) et Lorenzo (1736-1776), ainsi que d’un autre artiste assistant de Tiepolo dans les années 1730, Giovanni Raggi. À elle seule, elle permet donc d’offrir une vue des pratiques graphiques au sein de la famille et de l’atelier.
L’étude de ces feuilles et estampes, associées à des œuvres d’autres artistes, sources d’inspiration, comme Rembrandt, maître comme Piazzetta, ou contemporains (Canaletto, Guardi, Novelli), met en avant la grande modernité de leur art. Celle-ci se déploie particulièrement dans leur capacité à réaliser des variantes d’un même thème, aussi bien à travers les traditionnels sujets religieux et mythologiques que dans les études de figures, en particulier les caricatures, mais aussi dans les scènes de la vie vénitienne. L’exposition interroge également les rapports entre le père et ses fils, et le travail au sein d’une famille d’artistes.
Le parcours commence par un ensemble d’études de têtes et de visages qui posent la question de la formation au sein de l’atelier Tiepolo. Il se poursuit par l’évocation des peintures religieuses et grands décors profanes réalisés par les Tiepolo et leurs contemporains à Venise, puis présente des oeuvres graphiques autonomes, conçues hors de tout projet peint, comme de purs exercices ou délassements graphiques, sur des thèmes iconographiques répétés de manière quasi obsessionnelle, dans de multiples variantes.
C’est l’exceptionnelle capacité d’invention de Giambattista et Giandomenico Tiepolo, une des facettes les plus fascinantes de leurs personnalités artistiques, que ces dessins et estampes permettent de redécouvrir.
Commissaire : Hélène Gasnault, conservatrice des dessins aux Beaux-Arts de Paris.
Commissaire associée : Giulia Longo, conservatrice des estampes et photographies aux Beaux-Arts de Paris.
Le catalogue
Un catalogue accompagne l’exposition, avec des textes de Catherine Loisel, conservatrice honoraire du musée du Louvre et spécialiste du dessin italien ancien, Hélène Gasnault, conservatrice des dessins et Giulia Longo, conservatrice des estampes et photographies aux Beaux-Arts de Paris.
Carnet d’études n°58
112 pages
Prix 25 €
Infos Pratiques
du vendredi 22 mars au dimanche 30 juin 2024
(L'exposition sera fermée le mercredi 1er mai 2024)
14 rue Bonaparte, Paris 6e
Du mercredi au dimanche, 13h-19h
2€, 5€ ou 10€ c’est vous qui choisissez !
Giandomenico Tiepolo, Idee pittoresche sopra la fugga in Egitto, vers 1750-1753 Eau-forte
Giovanni Battista, dit Giambattista, Tiepolo, Faune et faunesse, vers 1740-1750, plume, encre brune, lavis brun sur esquisse à la pierre noire
Giovanni Battista, dit Giambattista, Tiepolo, Les Polichinelles faisant la cuisine, vers 1735, plume, encre brune et lavis brun
Francesco Guardi, Projet de plafond, vers 1770-1780 Plume, encre brune, lavis brun et aquarelle
BILLETTERIE RESPONSABLE
2, 5 ou 10 €, c’est vous qui choisissez !
La billetterie responsable invite chaque visiteur venant découvrir une exposition aux Beaux-Arts de Paris à choisir son ticket d’entrée parmi 3 tarifs proposés : 2 €, 5€ ou 10 €. Contribuez selon vos moyens, votre passion et votre désir d’engagement !
Gratuité (sur présentation d’un justificatif en cours de validité) :
• moins de 26 ans
• étudiants et enseignants des écoles nationales supérieures d’art et d’architecture du Ministère de la Culture
• étudiants des institutions membres de l’Université Paris-Sciences-et- Lettres (PSL)
• étudiants de l’École du Louvre
• titulaires de la carte du Ministère de la Culture
• Amis des Beaux-Arts de Paris et membres de l'association du cabinet des amateurs de dessins des Beaux-Arts de Paris
• détenteur des cartes : Maison des Artistes, ICOM, ICOMOS, Association française des commissaires d’exposition (CEA), Section française de l’Association internationale des critiques d’art (AICA France)
• journalistes (carte de presse de l’année en cours)
• demandeurs d’emploi, bénéficiaires des minima sociaux
• handicapés civils et mutilés de guerre (avec un accompagnateur)
Des lignes de désir présente les vingt-huit artistes qui ont obtenu leur diplôme national supérieur d'arts plastiques des Beaux-Arts de Paris avec les Félicitations du jury en 2023.
L'exposition, proposée par la commissaire Emilie Villez, rend compte de la diversité des propositions artistiques issues de l'École. Peintures, sculptures, installations et vidéos cohabitent avec les pratiques de performance et d'édition, présentées à travers une programmation hebdomadaire.
Chemins tracés dans un paysage par l’érosion de la marche d’humains ou d’animaux, les lignes de désir, aussi appelées chemins du libre arbitre, sont de douces remises en cause du système. La critique des excès de la modernité constitue un sous-texte chez les artistes présenté·es.
Sortir des sentiers battus, tout en trouvant sa place dans l’écosystème de l’art : l’enjeu de l’exposition est avant tout de présenter au public un panorama de pratiques artistiques contemporaines, ouvrant des pistes de résonance et de réflexion sur l’art et le monde d’aujourd’hui.
Des événements seront proposés chaque semaine, programme détaillé à venir sur beauxartsparis.fr.
À l'occasion du vernissage le 23 janvier, une performance inaugurale est proposée par Rose Bourdon : DIPLÔMÉ.ES est une pièce de théâtre collective dans laquelle cinq étudiantes de l’École parmi la foule jouent à la première personne les rôles d’alumni dont les vies-témoignages ont été recueillis lors d’appels téléphoniques au cours des derniers mois. Les acteurs portent chacun une couronne de laurier « alloro trionfale » qui les distingue du reste du public, symbole populaire du rite de passage du diplôme. Les témoignages sont documentés et archivés dans une édition réalisée par Margot Bernard.
Une publication accompagne l'exposition.
Félicités 2023
Parmi les 96 étudiant·es diplômé·es en 2023, 28 ont obtenu les Félicitations du jury composé d'Eva Barois de Caevel,
commissaire d'exposition, Sébastien Gökalp, directeur du Musée national de l'histoire de l'immigration, Claire Le Restif,
directrice du Centre d'art contemporain d'Ivry - Le Crédac, Mélanie Matranga, artiste, Elena Sorokina, commissaire
d'exposition et historienne de l'art, Stéphane Thidet, artiste, et Emilie Villez, commissaire d'exposition.
Carl AMIARD, Raphaëlle BENZIMRA, Joséphine BERTHOU, Thomas BESSET, Rose BOURDON, Marion CHAILLOU, Béryl COULOMBIÉ, Arthur DUJOLS-LUQUET, Yanma FOFANA, Milana GABRIEL, Thibault HISS, Nina JAYASURIYA, Louis LANNE, Louise LE PAPE, Sehyoung LEE, Marc LOHNER, Amandine MASSÉ, Pierre MÉRIGOT, Elise NGUYEN QUOC, Théo PALL, Océane PILASTRE, Margot POISSON, Victor PUŠ-PERCHAUD, Valentin RANGER, Sofia SALAZAR ROSALES, Gabrielle SIMONPIETRI, Anna STELLITTANO, Antonia TIETZE
Commissariat
Emilie Villez est commissaire d’exposition. Elle s’intéresse aux méthodologies artistiques et curatoriales, à la construction des institutions et à leurs écosystèmes. Sa pratique crée des mises en relations entre praticien·nes de différentes générations et géographies, utilisant divers médiums, adoptant la décentralisation comme méthode.
Directrice de la fondation KADIST à Paris de 2013 à 2023, elle a développé un programme d’expositions personnelles et collectives à Paris et au sein d’institutions partenaires internationales, avec des artistes et des commissaires invité·es de toutes régions. Elle a également contribué et continue à enrichir la collection de la fondation avec l'acquisition d’oeuvres d’artistes émergeant·es et confirmé·es.
Catalogue
L'exposition est accompagnée de la publication d'un catalogue.
Préfaces d'Alexia Fabre et Emilie Villez.
Entretiens avec chacun·e des artistes par les critiques d'art Marjorie Bertin, Aurore Forray, Henri Guette, Emmanuelle Luciani, Camille Paulhan, Anne-Laure Péressin, 4 pages sont consacrées à chaque Félicité·e.
Affiche - Des lignes de désir - Exposition Félicités 2023
BILLETTERIE RESPONSABLE
2, 5 ou 10 €, c’est vous qui choisissez !
La billetterie responsable invite chaque visiteur venant découvrir une exposition aux Beaux-Arts de Paris à choisir son ticket d’entrée parmi 3 tarifs proposés : 2 €, 5€ ou 10 €. Contribuez selon vos moyens, votre passion et votre désir d’engagement !
Gratuité (sur présentation d’un justificatif en cours de validité) :
• moins de 26 ans
• étudiants et enseignants des écoles nationales supérieures d’art et d’architecture du Ministère de la Culture
• étudiants des institutions membres de l’Université Paris-Sciences-et- Lettres (PSL)
• étudiants de l’École du Louvre
• titulaires de la carte du Ministère de la Culture
• Amis des Beaux-Arts de Paris
• détenteur des cartes : Maison des Artistes, ICOM, ICOMOS, Association française des commissaires d’exposition (CEA)
• journalistes
• demandeurs d’emploi, bénéficiaires des minima sociaux
• handicapés civils et mutilés de guerre (avec un accompagnateur)
En partenariat avec PhotoSaintGermain, une exposition collective d’artistes des Beaux-Arts de Paris investit l’École et ambitionne de montrer la diversité des écritures photographiques de la communauté des images actuelles
Du 2 au 18 novembre, Le Labo Photo, le couloir Perret et ses extérieurs rassemblent 26 propositions d’artistes sur le thème des Contre-Espaces.
Artistes participants : Caroline Ailleret, Margot Bernard, Léonard Berthou, Sacha Boccara, Rachel Borensztajn, Lena Carlton, Aurélia Casse, Alexey Chernikov, Niels Cibois, Caroline Culcasi, Emma Derieux-Billaud, Sofia Dushenko, Eric Godin, Celeste Ingrand, Corentin Léber, Jinyong Lian, Winca Mendy, Romain Moncet, Sara Noun, Enzo Perria, Clarisse Pillard, Ilona Plissonneau, Axel Ramat, Hajar Satari, Pierre Serot, Yasmine Sdigui, Colombe Thaller, Yizhi Wan
et
Le week-end du 3 au 5 novembre réunit dans les deux galeries du Palais des Études, une sélection scénographiée d’œuvres des étudiants-artistes des ateliers Jouve, Allouche, Poitevin et Faigenbaum.
Artistes participants : Pablo Laplanche, Mehdi Azzouz, Aissa Diallo, Carolina de la Roche, Jaouahire Zakraoui, Aryle Nsengiyumva, Mariya Olegovna, Marc Lohner, Soma Hirata, Aya Yamamoto
Artiste en résidence au musée Henner, Victoire Mangez occupera l'atelier du musée durant six mois et présentera le fruit de son travail à partir du 4 octobre 2023.
Victoire Mangez est diplômée des Beaux-arts de Paris en 2021. Tuiles usées, ornementations grotesques, fontaines spectaculaires sont autant de points de départ qui lui permettent de dérouler une pensée par jeux de rebonds et d’analogies. Victoire Mangez est lauréate du Prix Dauphine pour l’Art Contemporain (2023), elle est commissaire de l’exposition « Eaux d’artifice » au Palais des Beaux-arts de Paris (2021) et de « Olifant », au Château de Moyen, Lorraine (2017). Elle travaille également auprès de Ulla von Brandenburg depuis 2021.
Avec les œuvres de Anouk Rabot, Aurélia Casse (diplômée 2022), Manon Jacob (diplômée 2021), Romain Moncet (diplômé 2020), Thibault Bouedjoro-Camus (diplômé 2020) et Hamideh Harfi.
Lauréat d’une aide à la production de Rubis Mécénat en partenariat avec l’église Saint-Eustache et les Beaux-Arts de Paris, Marc Lohner, étudiant en 5e année, propose une installation en cinq lés de tissus suspendus au cœur de l’église. Commissariat par Marc Donnadieu.
Pour l’exposition Acheiropoïètes, terme grec signifiant « non fait par la main de l’homme », Marc Lohner n’a pas tenté de figurer le divin, mais a souhaité révéler ce que la main du temps, ou parfois involontairement et volontairement celle des êtres humains, a laissé sur les murs de l’église. Pour cela, il a photographié systématiquement toutes les faces des blocs octogonaux de calcaire qui servent de bases aux quatre-vingt-deux piliers intérieurs de l’église, ainsi que d’autres parties moins accessibles au regard, mais portant encore les traces originelles des différentes périodes de construction de l’édifice.
Après avoir réalisé, trié et classé toutes les images obtenues, il en a imprimé les plus caractéristiques sur cinq lés de tissu de lin translucide qu’il a suspendus entre certains piliers et sur près de douze mètres de hauteur. Grâce à des effets subtils de mises en perspective, de tons sur tons et de transparences, les peaux photographiques de l’église se superposent à ses peaux calcaires naturelles, les pixels de l’image aux grains de la pierre. Le regard est ainsi emporté par un double mouvement inversé de tombée vers le dallage du sol et de montée vers les voûtes aériennes, va et vient sans cesse renouvelé entre matérialité et immatérialité, gravité et légèreté, ombre et lumière…
Cette exposition inaugure une programmation réflexive mise en œuvre par l’équipe de la conservation des Beaux-Arts de Paris afin de mettre en perspective le présent
singulier de cette école-musée par son histoire tout aussi unique et fondatrice de la pensée muséale en France.
À partir d’une dizaine de figures emblématiques - architecte, conservateur·ice, donateur·ice -, La Fabrique des collections incarne les principales étapes de la constitution d’un patrimoine qui a toujours vocation à nourrir l’imaginaire des jeunes artistes. De l’Académie royale à la seconde moitié du XXe siècle, cette exposition révèle une histoire méconnue et devenue en grande partie imperceptible, incarnée par des personnages hauts en couleur et pavée d’anecdotes fondatrices. Associant des objets de différente nature, œuvres et archives, dans un schéma narratif commun, l’exposition prend un parti résolument contemporain.
Les collections des Beaux-Arts de Paris doivent beaucoup à Alexandre Lenoir, peintre et critique d’art qui crée à l’emplacement futur de l’École le premier musée consacré à l’art français, appelé musée des monuments français, dont la vocation principale est pédagogique. Les éléments monumentaux qui demeurent à la fermeture de ce musée constituent, avec les collections héritées des Académies royales, le noyau du « musée des études » construit par l’architecte Félix Duban et conçu par le premier conservateur de l’École, Louis Peisse. Son développement repose ensuite sur l’action d’Eugène Müntz, initiateur de son inventaire, ou encore de Wanda Bouleau-Rabaud, première femme conservatrice aux Beaux-Arts de Paris.
Le musée est aussi fondé sur la générosité, grâce à l’afflux de plusieurs centaines de legs et dons dont le contenu comme les motivations sont d’une grande diversité : anciens élèves de l’École, comme l’architecte Joseph Michel Lesoufaché ou le graveur Jacques Edouard Gatteaux ; personnages politiques à l’instar de Victor Schoelcher ; philanthropes méconnu·es, comme Célestine Chenavard, ou encore des collectionneurs amoureux d’un lieu atypique, à l’instar de Jean Masson ou Mathias Polakovits. Chacun·e, à leur manière, ont fait les collections des Beaux-Arts de Paris.
Une quarantaine d’œuvres, pour la plupart inédites, seront présentées. Parmi elles, une sanguine de Charles Le Brun préparatoire à un Mai de Notre-Dame, un dessin d’Ingres, survivant miraculeux aux incendies de la Commune, ainsi qu’une esquisse de jeunesse à la plume de Georges Rouault. Des œuvres inattendues seront également à découvrir, comme l’estampe relative à l’abolition de l’esclavage de David Lucas ou le journal intime de la responsable des collections de l’École pendant les événements de Mai 68.
Un catalogue est publié à l'occasion de l'exposition.
Commissariat
Hélène Gasnault, conservatrice des dessins, Estelle Lambert, conservatrice des manuscrits et imprimés, et Alice Thomide-Berrada, responsable des collections et conservatrice des peintures, sculptures et objets aux Beaux-Arts de Paris.
« Aux Beaux-Arts de Paris, des trésors de collections » - Libération
« À ses donateurs, l’École des Beaux-Arts reconnaissante » - Le Figaro
Informations pratiques
14 rue Bonaparte, Paris 6e
Du mercredi au dimanche, 13h-19h
2, 5 ou 10 €, c’est vous qui choisissez !
Charles Le Brun Figure d’homme et étude de bras, vers 1651 Sanguine sur papier beige
Anonyme Mathias Polakovits, le prince Radetzky et Robert Kennedy marchant rue de Rivoli (de gauche à droite), v. 1960-1968 Photographie argentique
Ugo da Carpi d’après Parmigianino Diogène, vers 1526-1527 Gravure sur bois
David Lucas To the Friends of Negro Emancipation Gravée par David Lucas d’après Alexander Rippingille, 1834 Manière noire
Charles Bouleau Portrait de Wanda Bouleau-Rabaud, v. 1939 Huile sur toile Collection privée
BILLETTERIE RESPONSABLE
2, 5 ou 10 €, c’est vous qui choisissez !
La billetterie responsable invite chaque visiteur venant découvrir une exposition aux Beaux-Arts de Paris à choisir son ticket d’entrée parmi 3 tarifs proposés : 2 €, 5 € ou 10 €. Contribuez selon vos moyens, votre passion et votre désir d’engagement !
Billetterie sur place uniquement.
Gratuité (sur présentation d’un justificatif en cours de validité) :
• moins de 26 ans
• étudiants et enseignants des écoles nationales supérieures d’art et d’architecture du Ministère de la Culture
• étudiants des institutions membres de l’Université Paris-Sciences-et- Lettres (PSL)
• étudiants de l’École du Louvre
• titulaires de la carte du Ministère de la Culture
• Amis des Beaux-Arts de Paris
• détenteur des cartes : Maison des Artistes, ICOM, ICOMOS, Association française des commissaires d’exposition (CEA)
• journalistes
• demandeurs d’emploi, bénéficiaires des minima sociaux
• handicapés civils et mutilés de guerre (avec un accompagnateur)
Les Beaux-Arts de Paris sont heureux d'accueillir avec Paris+ par Art Basel le projet de Jessica Warboys et la galerie Gaudel de Stampa (Paris).
La Chapelle des Petits-Augustins des Beaux-Arts de Paris accueillera une exposition de Jessica Warboys, titrée ' THIS TAIL GROWS AMONG RUINS', dans laquelle l'artiste britannique explore l'intersection entre la culture et la nature, au travers d'une installation audiovisuelle et un large collage de toiles.
Jessica Warboys réalise ces peintures en suivant un processus unique. Elle badigeonne la toile de cire d'abeille, l'immerge dans des plans d'eau sauvages, puis la saupoudre de pigments minéraux sur les rives. Dans son œuvre vidéo éponyme, l'artiste met en scène le voyage d'une bougie à travers différents sites où la nature et la culture se rencontrent, dont la Biblioteca Joanina à Coimbra, au Portugal, qui abrite une colonie de chauves-souris qui protègent ses précieux manuscrits des insectes, ainsi que la forêt de pins qui entoure le Centre Arvo Pärt à Laulasmaa, en Estonie. La vidéo est accompagnée d'une bande sonore, composée par Morten Norbye Halvorsen à partir de bruits amplifiés des chauves-souris.
Infos Pratiques
Du mardi 17 octobre 2023 au dimanche 22 octobre 2023 tous les jours de 10h à 19h Exposition en entrée libre
Chapelle des Petits-Augustins
14 rue Bonaparte, Paris 6
L'exposition présente les 13 lauréats 2022 des prix et bourses décernés par l'association des Amis des Beaux-Arts de Paris
Créée en 2007 par agnès b. pour soutenir la jeune création, l’association Les Amis des Beaux-Arts de Paris a décerné, en 2022, 7 Prix et 6 bourses d’un montant de 5 000 euros, à des étudiants, notamment de 3e ou 5e année, comme à de jeunes diplômés ou à des élèves issus de la classe préparatoire Via Ferrata ayant intégré l’École. Les travaux des treize lauréats sont exposés dans la chapelle des Petits-Augustins de l’École.
Les lauréats exposés :
Abdelhak Benallou - prix du Portrait, prix Bertrand de Demandolx-Dedons
Jules Bourbon - prix Thaddaeus Ropac
Malo Chapuy - prix agnès b.
Zhexiang Chen - prix des Amis
Clédia Fourniau - bourse Silver Linings Arts
Manon Gignoux - bourse des Amis
Dora Jeridi - prix Khalil de Chazournes
Emily Koffi-Brou - bourse François Dujarric de la Rivière
Bertille Letillois - bourse François Dujarric de la Rivière
Gabriel Moraes Aquino - bourse montres F.P. JOURNE
Mathis Perron - bourse des Amis
Pierre-Alexandre Savriacouty - mention spéciale du jury
Rayan Yasmineh - prix Weil, Gotshal & Manges
Infos pratiques :
Exposition en entrée libre
Du 29 juin au 1er juillet de 12h à 20h les jeudi et vendredi et jusqu’à 18h le samedi à la chapelle des Petits-Augustins
Le Prix Bob Calle est un prix d’envergure européenne, créé en 2017 par Laurence Dumaine Calle, en hommage à Bob Calle (1920-2015) «pourmettre en lumière la foisonnante diversité et la fondamentale liberté du livre d’artiste ». Décerné tous les deux ans par un jury composé de différents acteurs reconnus pour leur contribution au livre d’artiste, il récompense par une dotation de 5000€, un livre d’artiste sélectionné par des experts internationaux.
Pour sa quatrième édition, 52 livres d'artistes de 10 pays d'Europe seront en compétition, cette année.La cérémonie de remise des prix aura lieu jeudi 08 juin 2023 à l’amphithéâtre d'honneur de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris. Elle sera suivie, à partir de 19h, d'une vente-dédicace et d'une exposition des œuvres à la Bibliothèque d'art contemporain du vendredi 09 juin au mardi 20 juin 2023.