Kärcher et les Beaux-Arts de Paris s’associent pour doter d’une œuvre la bâche qui recouvre pendant un an la restauration de l’escalier en fer-à-cheval du Château de Fontainebleau.

 

Domitille Siergé, étudiante en 5e année dans l’atelier de Stéphane Calais est la lauréate de l’appel à projet lancé auprès des étudiants de l’Ecole.

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Jeudi 27 mai 2021

18H30 - 19H30

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Instagram Beaux-Arts de Paris

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Marie Robert est conservatrice en chef au musée d’Orsay, chargée de la photographie. Auteure d’une dizaine d’accrochages de la collection marqués par les sciences sociales, elle a également été co-commissaire des expositions Misia, Reine de Paris (2011), Splendeurs et Misères. Images de la prostitution (2015) et Qui a peur des femmes photographes ? (2015). Avec Luce Lebart, elle a codirigé en 2020 Une histoire mondiale des femmes photographes, aux éditions Textuel.

Mardi 18 mai 2021

14H00 - 15H00

Beaux-Arts de Paris

14 rue Bonaparte, 75006 Paris

ÉTUDIANTES / ÉTUDIANTS

Quentin Dupieux, né en 1974, est musicien, scénariste et réalisateur. Il a réalisé de nombreux clips vidéos et une dizaine de longs métrages dont le dernier Mandibules, très remarqué à la Mostra de Venise 2020, conte l'histoire de deux amis qui découvrent dans une voiture volée une mouche géante. Il dialogue avec les étudiants des Beaux-Arts de Paris à propos de son œuvre de cinéaste et musicien.

 

 

Amphithéâtre des Loges

 

Crédit photo : Ph. Lebruman 2018

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Du Lundi 10 mai 2021 au Mercredi 12 mai 2021

16H00 - 17H30

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Site web des Beaux-Arts de Paris

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Chaire Habiter le Paysage : l’Art à la rencontre du vivant
La production d'œuvres en territoire partagé par des vivants humains et non-humains

 

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Vendredi 7 mai 2021

18H30 - 19H30

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Instagram Live Beaux-Arts de Paris

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Philippe Lançon est journaliste et écrivain. Grand Reporter et critique culturel à Libération, où il travaille depuis 1994, il est également chroniqueur à Charlie Hebdo depuis 2003. C'est là qu'il a connu Georges Wolinski. Il a publié plusieurs livres, dont Les îles (Lattès, 2011), L'Élan (Gallimard, 2013) et Le Lambeau (Gallimard, 2018), qui a obtenu le prix Femina.

Dinosaures, Baleines, Mondes engloutis :
une généalogie populaire de la forme exposition.

Yannick LANGLOIS, doctorant SACRe/Beaux-Arts de Paris
 



 

Accéder aux descriptifs d'une sélection d'œuvres

Le prince vice-roi à l’armée de Russie délivrant un de ses aides de camp polonais surpris par des Cosaques, dit Combat de cavalerie Mamelouk au bord de la mer La Traite des Noirs, dit aussi Traite des Noirs sur un marché d’esclaves de la côte du Sénégal Étude de cheval Six chevaux en liberté dans un paysage Amazone dans un paysage Saint Paul renversé sur le chemin de Damas Odalisque Portrait de jeune femme noire vêtue à la turque La ballade de Lénore Le château de Corbus La Lecture Étude d’arbres Orage en mer

C’est entre 1815 et 1850 que le dessin romantique connaît son apogée dans un contexte artistique plein de vitalité. Les Beaux-Arts de Paris se proposent d’en esquisser les spécificités – extravagance, lyrisme, désespoir et démesure – à travers les œuvres de sa collection, dont plusieurs sont exposées pour la première fois. Attirés par les voyages lointains, les scènes héroïques, le spectacle de la nature, les artistes romantiques se forgent un univers fantastique et audacieux qui séduisit des collectionneurs passionnés qui firent don de leurs dessins aux Beaux-Arts de Paris, tels A.C.H. His de la Salle (1867), Edouard Gatteaux (1883) ou encore Alfred Armand (1908).

À travers une trentaine de feuilles, les Beaux-Arts de Paris dévoilent une partie de cet ensemble, premières pensées mais aussi oeuvres achevées exécutées dans des techniques aussi variées que le graphite, la plume ou l’aquarelle. Déployant tout l’éventail des thèmes associés au romantisme – la mort, Éros, le gothique, l’exotisme, la condition humaine et la condition animale –, la sélection met en lumière les réalités du dessin romantique, plus variées et variables que l’apparente évidence de l’expression ne le laisse supposer.

Between 1815 and 1850, Romantic draughtsmanship was in full bloom in a context of great artistic vitality. The Beaux-Arts de Paris wish to shed light on its specific qualities - extravagance, lyricism, despair and excess - through selected works from their drawings collection, among which several are shown for the first time. Attracted to distant lands, heroic scenes, and the spectacle of nature, Romantic artists created a fantastic and bold universe that drew the interest of passionate collectors who donated their works to the Beaux-Arts de Paris, such as A.C.H. His de la Salle (1867), Edouard Gatteaux (1883) and Alfred Armand (1908).

Through some thirty drawings, the Beaux-Arts de Paris unveil a part of this ensemble, including rough sketches but also finished works drawn in various techniques, from graphite and pen and ink, to watercolor. Displaying the wide range of themes dealt with by Romantic artists - death, Eros, the Gothic, exoticism, human and animal conditions - the exhibition reveals the character of Romantic drawing in its diversity.

 

Crédit Photos et vidéo : Nicolas Brasseur

Entretiens avec Emmanuelle Brugerolles, commissaire d'exposition ; Stanislas d’Alburquerque, membre de l’association le Cabinet des amateurs de dessins et Bruno Chenique, historien de l'art
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Le dessin romantique

Le dessin romantique - photo 15

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