Diplômée 2020 des Beaux-Arts de Paris, ateliers Dominique Gauthier, Joann Sfar et Marc Desgrandchamps, Ymane Chabi-Gara est la lauréate de la 2e édition du Prix Sisley - Beaux-Arts de Paris pour la jeune création, un prix inédit visant à soutenir la jeune création contemporaine, ainsi que la place des femmes dans l’art et la société.

Hikikomori 3, 2020 acrylique sur contreplaqué, 122 x 122 cm

Hikikomori 2, 2020 acrylique sur contreplaqué, 122 x 244 cm

Ymane Chabi-Gara

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  • Dialogue avec Franck Scurti
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Franck Scurti utilise indifféremment tous les médiums : vidéo, sculpture, installation. Son œuvre se constitue autour d’une réflexion sur l’art, les signes sociaux et la réalité de l’époque. Ses œuvres sont souvent créés à partir de matériaux et de formes trouvées, des choses dépourvues de valeurs qu’il redéfinit soigneusement en élaborant à chaque fois leur logique d’apparition.

 

En raison des dispositions gouvernementales, la Nouvelle Académie des Amateurs des Beaux-Arts de Paris ne pourra malheureusement débuter  le 8 mars prochain. Les cours qui devaient se tenir dans la période du lundi 8 mars au samedi 29 mai 2021 sont annulés. Les nouvelles dates de la prochaine session seront communiquées dès que possible.
 
Nous remercions chaleureusement toutes celles et ceux qui s’y sont inscrits.
Un courriel va vous être adressé pour vous en informer personnellement.

 

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  • Dialogue avec Julie Curtiss
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Être peintre à New-York aujourd'hui

 

Fille d'un père vietnamien et d'une mère française, Julie Curtiss (1982) a fait ses études aux Beaux-arts de Paris dont elle sort diplômée en 2006. Elle vit et travaille aujourd'hui à Brooklyn. 

Peinture, sculpture et dessin : les lignes et les couleurs sont tranchantes et immédiatement reconnaissables. Son travail déploie un humour noir dans lequel les figures féminines dominent. Silhouettes aux ongles fourchus, aux cheveux longs, souvent sans visage, elles irriguent les toiles d'une énergie sombre.

 

Les dessins à la mine de graphite de Jean Bedez proposent des représentations du monde contemporain qui fonctionnent comme des allégories modernes : entre pouvoir politique et religieux, culture du spectacle ou encore rôle du citoyen, ils explorent les rapports de domination dans nos sociétés.

 

Pascale Marthine Tayou, né en 1966 à Nkongsamba au Cameroun, installé à Gand en Belgique, chef d’atelier aux Beaux-Arts de Paris, est l’un des plus grands artistes de sa génération. Il développe depuis plus de vingt-cinq ans un travail foisonnant et libre, mêlant artisanat, symboles nationaux et économiques, matières organiques, rebuts de la civilisation…, et pose un regard implicitement critique et politique sur le monde. Son vocabulaire prolifique, animé d’une vision « transculturelle », véhicule les richesses, les troubles et les contradictions de la société actuelle.

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