14h | Atelier de raye ! – écriture
Par Princesse Diakumpuna & Lou Rappeneau
Sur inscriptions
Vendredi 9 mai 2025
14H00 - 16H00
Palais des Beaux-Arts
13 quai Malaquais, 75006 Paris
14h | Atelier de raye ! – écriture
Par Princesse Diakumpuna & Lou Rappeneau
Sur inscriptions
Mercredi 30 avril 2025
14H00 - 16H00
Palais des Beaux-Arts
13 quai Malaquais, 75006 Paris
14 à 16h | Atelier de raye ! - Écriture
Sur inscriptions
Mercredi 7 mai 2025
14H00 - 20H30
Palais des Beaux-Arts
13 quai Malaquais, 75006 Paris
14h | Atelier gestuel inclusif
Sur inscription
L’atelier Corps et graphies par Clément Justin Hannin est une invitation à élargir son écoute corporelle en se connectant à son propre sensorium ainsi qu’aux autres membres du groupe. La danse y est appréhendée comme une pratique privilégiée pour appréhender le monde qui nous entoure et « faire corps » politiquement.
Mardi 27 mai 2025
19H00 - 20H30
Amphithéâtre des Loges
14 rue Bonaparte, 75006 Paris
Une discussion modérée par Eva Barois de Caevel réunissant Euridice Zaituna Kala et Pascale Marthine Tayou, viendra questionner les tensions entre systèmes éducatifs institutionnels et pédagogies alternatives dans les contextes post-indépendances africaines.
Mardi 20 mai 2025
19H00 - 20H30
Amphithéâtre des Loges
14 rue Bonaparte, 75006 Paris
Lundi 5 mai 2025
18H30 - 20H00
Amphithéâtre des Loges
14 rue Bonaparte, 75006 Paris
Cet événement est organisé conjointement par l’École d’architecture Paris-Malaquais et les Beaux-arts de Paris, en lien avec l’enseignement « L’entour ». Il sera modéré par Audrey Illouz et Yann Rocher.
Romain Moncet filme des micro-événements du quotidien ou phénomènes optiques, captés lors de promenades. L’artiste nous fait découvrir “la banalité qui, observée sous le bon angle, devient énigmatique”.
L’artiste commente : “les jeux ondulatoires de la lumière, et de ce qu’elle renvoie, créent une poésie optique qui questionne autant le monde qui nous entoure que la perception que nous en avons. La succession de ces plans fixes crée une forme de langage visuel, une porte ouverte vers un imaginaire, la possibilité d’une narration à la fois collective et individuelle.”
In this series of three videos, Romain Moncet films everyday micro-events or optical phenomena, captured during walks. The artist shows us “the banality which, observed from the right angle, becomes enigmatic”.
The artist comments: “The undulatory play of light, and of what it reflects, creates an optical poetry that questions both the world around us and our perception of it. The succession of these still shots creates a form of visual language, an open door to the imaginary, the possibility of a narrative that is both collective and individual.”
« Du risque elle en a le goût. Réglée comme du papier à musique, chaque jour elle s’élance dans le vide, à la conquête d’exploits un peu plus fous. L’œil fixé sur son cadran suisse, insensible au vertige, elle tient le monde entre ses mains, l’équilibriste ».
L’artiste décrit ainsi sa série L’Équilibriste composée de trois vidéos. On y observe un avatar qui progresse sur un fil tendu, personnage fictif modélisé et animé en 3D par Anaïs Legros à l’aide du logiciel Blender.
Ce dernier entraîne le spectateur dans une sorte de parenthèse méditative fantasmagorique. Il arpente des paysages digitaux conçus à l’aide d’une intelligence artificielle, composant ainsi une gymnastique de tableaux numériques.
“She has a taste for risk. Like clockwork, every day she leaps into the void, in pursuit of even greater feats. With her eye fixed on her Swiss dial, impervious to vertigo, she holds the world in her hands, like a tightrope walker.
This is how the artist describes her L'Équilibriste series, where three videos shows an avatar moving along a tightrope, a fictional character modeled and animated in 3D by Anaïs Legros using Blender software.
The viewer is drawn into a kind of meditative, phantasmagorical parenthesis. He strolls through digital landscapes designed with the help of artificial intelligence, composing a gymnastics of digital tableaux.
Dans ce dessin animé des oiseaux se rencontrent et fusionnent pour en créer de nouveaux, en leur transmettant des parties d’eux-mêmes comme leur plumage ou des taches colorées. Elina Huneman-Kulich s’intéresse à la transmission, à l’hérédité et à l’épigénétique (transmission de modifications d’expressions de gènes suite à une expérience vécue).
Une plante envahit progressivement l’intérieur d’un wagon de métro. Ce wagon qui conduit d’un point A à un point B, est comparé à un gène, qui va transporter un matériel génétique d’une génération à l’autre. Ce « wagon-héritage » va être envahi par une plante faisant évoluer l’environnement et donnant les marques épigénétiques.
Ces scènes sont réalisées en stop-motion, chaque dessin étant réalisé à la main, à l’aquarelle et à l’encre, puis pris en photo et mis bout-à-bout. Ce procédé requiert douze dessins pour une seconde de vidéo.
In this work, composed of three videos, Elina Huneman-Kulich focuses on transmission, heredity and epigenetics (the transmission of changes in gene expression as a result of experience).
Here, birds meet and merge to create new ones, passing on parts of themselves such as their plumage or colored spots.
A plant gradually invades the interior of a subway car. This carriage, which leads from point A to point B, is compared to a gene, which carries genetic material from one generation to the next. This “heritage car” will be invaded by a plant, causing the environment to evolve and giving rise to epigenetic marks.
These scenes are created in stop-motion, each drawing being hand-drawn in watercolor and ink, then photographed and put together. This process requires twelve drawings for one second of video.
Dans cette série de trois vidéos, Claire Beriel-Rodriguez aborde avec humour les relations entre les individus et la télévision.
Elle met en scène des comportements considérés comme "stupides", primitifs ou même absurdes, dans un cadre minimaliste. Son intention est de créer un contraste entre les actions des acteurs et les images diffusées à l'écran. Ces dernières sont des visages générés par une intelligence artificielle, suscitant un malaise entre des personnages virtuels et des corps réels agissant de manière étrange.
Bien que ne constituant pas une critique stricte du rôle des technologies dans notre société, “TéVé” se moque autant des images omniprésentes dans notre quotidien que des comportements qu'elles engendrent.
In this series of three videos, Claire Beriel-Rodriguez takes a humorous look at the relationship between individuals and television.
She stages behaviors considered “stupid”, primitive or even absurd, in a minimalist setting. Her intention is to create a contrast between the actors' actions and the images broadcast on screen.The latter are faces generated by artificial intelligence, creating an unease between virtual characters and real bodies acting in strange ways.
Although not a strict critique of the role of technology in our society, “TéVé” pokes fun as much at the omnipresent images in our daily lives as at the behaviors they engender.